Les progrès de la science font qu'on en apprendre d'avantage sur la nourriture et sur les traitements qu'on fait subir à nos aliments.
Personnellement, j'ai lu Julien Venesson, Eat, le livre noir de l'agriculture et quelques autres livres...
La science n'a pas fini de découvrir. Mais, nous avons dans la nourriture une lien qui perturbe notre analyse ou notre capacité d'analyse. Manger touche notre affect. Des scientifiques ou des spécialistes ont des dogmes (végétariens, végétaliens, crudivore, lobby, gastronome, amateur de bonne chaire...) qui trompent les analyses et les lectures. Bref, c'est une vraie foire d'empoigne entre les promoteurs de mal bouffe, les amateurs de bonne chaire, les buveurs de tisane et les faiseurs de régime... L'amateur de musculation se retrouve perdu dans une faune qui ne prend pas en compte ses objectifs. Une chose est certaine, la majorité oublie que chacun est différent.
Au final, j'ai compris une chose. Pour manger sain, il faut acheter sain. Pour manger bien, il faut faire sa cuisine avec des aliments non transformés (au maximum) et si possible bio. Bref, il faut être pragmatique. Il faut prendre le tout avec un bon sens paysan.
Et, je finirai par un adage de famille : je mange ce que j'aime. J'évite des aliments. Mais, au final, manger doit-être un plaisir. J'ingurgite des shakers par facilité, mais je me cuisine au moins 2 repas par jour. Et, un aliment que je ne supporte pas, je le supprime.
Je finirai par un exemple de jugement. Je veux éviter le lait. Mais, je mange de la protéine pour son cote pratique. Je prends de la caséine car je suis d'une nature à prendre du gras et la casèine "rempli" d'avantage. Après, si demain je dois changer, je changerai.
Il ne faut pas uniquement se focaliser sur un point de son alimentation.