Avoir moins de ride prédit - il une meilleure longévité?

[Nutrimuscle-Conseils]

Association between genetically predicted telomere length and facial skin aging in the UK Biobank: a Mendelian randomization study
Yiqiang Zhan GeroScience volume 43, pages1519–1525 (2021)

Are shorter telomeres causal risk factors for facial aging on a large population level? To examine if longer, genetically predicted telomeres were causally associated with less facial aging using Mendelian randomization analysis. Two-sample Mendelian randomization methods were applied to the summary statistics of a genome-wide association study (GWAS) for self-reported facial aging from 417, 772 participants of the UK Biobank data. Twenty single-nucleotide polymorphisms (SNPs) that were of genome-wide significance were selected as instrumental variables for leukocyte telomere length. The main analyses were performed primarily using the random-effects inverse-variance weighted method and were complemented with the MR-Egger regression, weighted median, and weighted mode approaches. The intercept of MR-Egger regression was used to assess horizontal pleiotropy. Longer genetically predicted telomeres were associated with a lower likelihood of facial aging (β = − 0.02, 95% confidence interval: − 0.04, − 0.002). Comparable results were obtained using MR-Egger regression, weighted median, and weighted mode approaches. The intercept of MR-Egger regression was close to zero (0.002) that was not suggestive of horizontal pleiotropy.

Our findings provided evidence to support a potential causal relationship between longer genetically predicted telomeres and less facial aging.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

Association entre la longueur des télomères génétiquement prédite et le vieillissement cutané du visage dans la biobanque britannique : une étude de randomisation mendélienne
Yiqiang Zhan GeroScience volume 43, pages 1519-1525 (2021)

Les télomères plus courts sont-ils des facteurs de risque causals du vieillissement facial à un niveau de population important ? Pour examiner si des télomères plus longs et génétiquement prédits étaient associés de manière causale à moins de vieillissement facial en utilisant l'analyse de randomisation mendélienne. Des méthodes de randomisation mendéliennes à deux échantillons ont été appliquées aux statistiques récapitulatives d'une étude d'association pangénomique (GWAS) pour le vieillissement facial autodéclaré auprès de 417 772 participants aux données de la UK Biobank. Vingt polymorphismes mononucléotidiques (SNP) qui étaient significatifs à l'échelle du génome ont été sélectionnés comme variables instrumentales pour la longueur des télomères des leucocytes. Les principales analyses ont été effectuées principalement à l'aide de la méthode pondérée de la variance inverse à effets aléatoires et ont été complétées par les approches de régression MR-Egger, de médiane pondérée et de mode pondéré. L'interception de la régression MR-Egger a été utilisée pour évaluer la pléiotropie horizontale. Des télomères plus longs génétiquement prédits étaient associés à une probabilité plus faible de vieillissement facial (β = − 0,02, intervalle de confiance à 95 % : - 0,04, - 0,002). Des résultats comparables ont été obtenus en utilisant les approches de régression MR-Egger, de médiane pondérée et de mode pondéré. L'intersection de la régression MR-Egger était proche de zéro (0,002), ce qui ne suggérait pas une pléiotropie horizontale.

Nos résultats ont fourni des preuves à l'appui d'une relation causale potentielle entre des télomères plus longs génétiquement prédits et moins de vieillissement facial.