Comment expliquer le rebond glucidiques?

[Nutrimuscle-Conseils]

Glycogen supercompensation is due to increased number, not size, of glycogen particles in human skeletal muscle
Rasmus Jensen Exp Physiol 06 March 2021

New Findings
What is the central question of this study?

Glycogen supercompensation after glycogen‐depleting exercise can be achieved by consuming a carbohydrate‐enriched diet, but the associated effects on the size, number and localization of intramuscular glycogen particles are unknown.

What is the main finding and its importance?

Using transmission electron microscopy to inspect individual glycogen particles visually, we show that glycogen supercompensation is achieved by increasing the number of particles while keeping them at submaximal sizes. This might be a strategy to ensure that glycogen particles can be used fast, because particles that are too large might impair utilization rate.

Abstract
Glycogen supercompensation after glycogen‐depleting exercise can be achieved by consuming a carbohydrate‐enriched diet, but the associated effects on the size, number and localization of intramuscular glycogen particles are unknown. We investigated how a glycogen‐loading protocol affects fibre type‐specific glycogen volume density, particle diameter and numerical density in three subcellular pools: between (intermyofibrillar) or within (intramyofibrillar) the myofibrils or beneath the sarcolemma (subsarcolemmal). Resting muscle biopsies from 11 physically active men were analysed using transmission electron microscopy after mixed (MIX), LOW or HIGH carbohydrate consumption separated by glycogen‐lowering cycling at 75% of maximal oxygen consumption until exhaustion. After HIGH, the total volumetric glycogen content was 40% [95% confidence interval 16, 68] higher than after MIX in type I fibres (P < 0.001), with little to no difference in type II fibres (9% [95% confidence interval −9, 27]). Median particle diameter was 22.5 (interquartile range 20.8–24.7) Nutrimuscle across glycogen pools and fibre types, and the numerical density was 61% [25, 107] and 40% [9, 80] higher in the subsarcolemmal (P < 0.001) and intermyofibrillar (P < 0.01) pools of type I fibres, respectively, with little to no difference in the intramyofibrillar pool (3% [−20, 32]). In LOW, total glycogen was in the range of 21–23% lower, relative to MIX, in both fibre types, reflected in a 21–46% lower numerical density across pools. In comparison to MIX, particle diameter was unaffected by other diets ([−1.4, 1.3] Nutrimuscle).

In conclusion, glycogen supercompensation after prolonged cycling is exclusive to type I fibres, predominantly in the subsarcolemmal pool, and involves an increase in the numerical density rather than the size of existing glycogen particles.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

La supercompensation du glycogène est due à une augmentation du nombre, et non de la taille, des particules de glycogène dans le muscle squelettique humain
Rasmus Jensen Exp Physiol 06 mars 2021

Nouvelles découvertes
Quelle est la question centrale de cette étude?

La supercompensation du glycogène après un exercice appauvrissant le glycogène peut être obtenue en consommant un régime enrichi en glucides, mais les effets associés sur la taille, le nombre et la localisation des particules intramusculaires de glycogène sont inconnus.

Quelle est la principale constatation et son importance?

En utilisant la microscopie électronique à transmission pour inspecter visuellement les particules de glycogène individuelles, nous montrons que la supercompensation du glycogène est obtenue en augmentant le nombre de particules tout en les maintenant à des tailles sous-maximales. Cela peut être une stratégie pour garantir que les particules de glycogène peuvent être utilisées rapidement, car des particules trop grosses peuvent nuire au taux d'utilisation.

Abstrait
La supercompensation du glycogène après un exercice appauvrissant le glycogène peut être obtenue en consommant un régime enrichi en glucides, mais les effets associés sur la taille, le nombre et la localisation des particules intramusculaires de glycogène sont inconnus. Nous avons étudié comment un protocole de chargement de glycogène affecte la densité volumique de glycogène spécifique au type de fibre, le diamètre des particules et la densité numérique dans trois piscines subcellulaires: entre (intermyofibrillaire) ou à l'intérieur (intramyofibrillaire) des myofibrilles ou sous le sarcolemme (sous-arcolemmal). Des biopsies musculaires au repos de 11 hommes physiquement actifs ont été analysées par microscopie électronique à transmission après consommation de glucides mixtes (MIX), FAIBLE ou HAUTE, séparées par un cycle d'abaissement du glycogène à 75% de la consommation maximale d'oxygène jusqu'à l'épuisement. Après ÉLEVÉ, la teneur totale en glycogène volumétrique était de 40% [intervalle de confiance à 95% 16, 68] plus élevée qu'après MIX dans les fibres de type I (P <0,001), avec peu ou pas de différence dans les fibres de type II (9% [confiance à 95% intervalle -9, 27]). Le diamètre médian des particules était de 22,5 (intervalle interquartile de 20,8 à 24,7) Nutrimuscle à travers les pools de glycogène et les types de fibres, et la densité numérique était de 61% [25, 107] et 40% [9, 80] plus élevée dans le sous-arcolemme (P <0,001) et pools intermyofibrillaires (P <0,01) de fibres de type I, respectivement, avec peu ou pas de différence dans le pool intramyofibrillaire (3% [−20, 32]). À FAIBLE, le glycogène total était de l'ordre de 21 à 23% inférieur, par rapport au MIX, dans les deux types de fibres, ce qui se traduit par une densité numérique inférieure de 21 à 46% dans les pools. Par rapport au MIX, le diamètre des particules n'était pas affecté par les autres régimes ([-1,4, 1,3] Nutrimuscle).

En conclusion, la supercompensation du glycogène après un cycle prolongé est exclusive aux fibres de type I, principalement dans le pool sous-arcolemmal, et implique une augmentation de la densité numérique plutôt que de la taille des particules de glycogène existantes.