Effet de différents régimes et aliments sur le taux de testo

[Nutrimuscle-Conseils]

The influence of dietary intake on sex steroid hormones
Molly Uren Applied Physiology, Nutrition, and Metabolism, Vol. 45, No. 4 S51

Introduction: Sex steroid hormones, testosterone and estrogen, are
key regulators of metabolism and reproduction. Disruptions in the
homeostasis of sex steroid hormone metabolism results in metabolicendocrine disorders. Dietary modulation of these hormones may be
clinically important in disease, metabolic conditions or life stages
where hormones are altered, such as obesity, menopause and polycystic ovary syndrome (PCOS). The aim of this scoping review was to
determine how the fasted and fed state, and different diet interventions impact sex steroid hormones in women.

Methods: Databases
searched include PubMed and Google scholar up to November 2019
and used key words related to diet, dietary patterns, nutrition and
hormones, and reference lists were used to retrieve articles. Database
search led to 75 relevant articles and 19 studies were included in the
review that directly determined diet or nutritional interventions in
women and effects on sex steroid hormones.

Results:
Low-fat diets
(20% total kcal) were associated with significant reductions in plasma
estradiol, estrone and total testosterone concentrations. Consistently,
increasing dietary lipid intake was shown to negatively correlate with
plasma estrogen concentration. Serum testosterone concentrations
were shown to decrease by 20% following a lipid rich meal (65% kcal) in
women with PCOS.

Increasing fiber intake (30g/day) resulted in lower
serum estradiol concentrations independent of weight loss.

Vegetarian diets, high in fruits and vegetables, legumes, 30% kcal from fat and
high in fiber (28g/d), resulted in lower levels of estradiol and testosterone,
and higher serum hormone binding globulin (SHBG). Very low-calorie
diets (800 kcal/d) were shown to induce body weight loss and to reduce
insulin and increase SHBG, which may increase binding of androgens.

Conclusion: Dietary lipid appears to postprandially regulate androgens
and diets associated with weight loss lower estrogens and androgens,
however the physiological mechanisms remain unclear.

Limitations in the field include a lack of well controlled dietary-nutritional interventions and complete assessment of steroid hormone metabolism.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

L'influence de l'apport alimentaire sur les hormones stéroïdes sexuelles
Molly Uren Physiologie appliquée, nutrition et métabolisme, vol. 45, n ° 4 S51

Introduction: Les hormones stéroïdes sexuelles, la testostérone et les œstrogènes sont régulateurs clés du métabolisme et de la reproduction. Perturbations dans l'homéostasie du métabolisme des hormones stéroïdes sexuelles entraîne des troubles métaboliques endocriniens. La modulation diététique de ces hormones peut être cliniquement important dans la maladie, les conditions métaboliques ou les stades de la vie où les hormones sont altérées, telles que l'obésité, la ménopause et le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Le but de cet examen de la portée était de déterminer comment l'état de jeûne et d'alimentation et les différentes interventions alimentaires ont un impact sur les hormones stéroïdes sexuelles chez les femmes.

Méthodes: Bases de données les recherches effectuées incluent PubMed et Google scholar jusqu'en novembre 2019 et utilisé des mots clés liés au régime alimentaire, aux régimes alimentaires, à la hormones et des listes de références ont été utilisées pour récupérer les articles. Base de données
recherche a conduit à 75 articles pertinents et 19 études ont été incluses et examiner ce régime directement déterminé ou les interventions nutritionnelles
les femmes et les effets sur les hormones stéroïdes sexuelles.

Résultats: Régimes faibles en gras (20% kcal total) ont été associés à des réductions significatives des concentrations d'estradiol, d'oestrone et de testostérone totale. Régulièrement, l'augmentation de l'apport lipidique alimentaire a été corrélée négativement avec la concentration plasmatique d'oestrogène. Concentrations sériques de testostérone ont diminué de 20% après un repas riche en lipides (65% kcal) dans femmes atteintes de SOPK.

L'augmentation de l'apport en fibres (30 g / jour) a entraîné une baisse concentrations sériques d'estradiol indépendantes de la perte de poids.

Régimes végétariens, riches en fruits et légumes, légumineuses, 30% kcal de matières grasses et riche en fibres (28 g / j), a entraîné une baisse des niveaux d'estradiol et de testostérone, et une globuline de liaison aux hormones sériques plus élevée (SHBG). Très faible en calories les régimes (800 kcal / j) induisaient une perte de poids corporel et réduisaient l'insuline et augmenter la SHBG, ce qui peut augmenter la liaison des androgènes.

Conclusion: les lipides alimentaires semblent réguler postprandialement les androgènes et les régimes alimentaires associés à une perte de poids moins d'oestrogènes et d'androgènes, cependant, les mécanismes physiologiques restent flous.

Les limites dans le domaine comprennent un manque d'interventions diététiques et nutritionnelles bien contrôlées et une évaluation complète du métabolisme des hormones stéroïdes.