Feasibility and effects on the gut microbiota of a 12-week high-intensity interval training plus lifestyle education intervention on inactive adults with celiac disease
Cassandra Warbeck Applied Physiology, Nutrition, and Metabolism • 22 September 2020
This study assessed the feasibility and benefits of high-intensity interval training (HIIT) plus lifestyle education among inactive adults with celiac disease. Forty-one participants were randomized to receive the intervention (HIIT plus lifestyle education; HIIT+) for 12 weeks or waitlist control (WLC). Testing was completed at baseline, immediately post-intervention, and 3 months post-intervention. Generalized estimating equations were used to assess changes in the outcome variables over time between the groups. Mean percent of age-predicted maximum heart rate was 97.9% and average rating of perceived exertion was 6.33 (out of 10) during HIIT intervals. Following the intervention, the HIIT+ showed enrichment in relative abundance of Parabacteroides and Defluviitaleaceae_UCG_011 while WLC showed enrichment in relative abundance of Roseburia intestinalis, Klebsiella, and Adlercreutzia. A unique set of taxa were differentially abundant between the groups at 3 months post-intervention. HIIT+ participants experienced a reduction in resting heart rate (−6.6 bpm) immediately post-intervention compared with WLC. Further research is needed to establish an optimal HIIT protocol that may improve maximal oxygen uptake and metabolic syndrome biomarkers. Findings from this pilot study provide preliminary evidence that an HIIT intervention is feasible for inactive adults with celiac disease and leads to favourable changes in resting heart rate alongside potentially beneficial shifts in gut microbiota.
Novelty:
• HIIT leads to potentially beneficial changes in the gut microbiota of adults with celiac disease.
• An HIIT exercise intervention is feasible and well tolerated for patients with celiac disease.
Cette étude évalue la faisabilité et les avantages de l’exercice par intervalle à haute intensité (« HIIT ») et de l’éducation au mode de vie chez des adultes inactifs atteints de la maladie cœliaque. Quarante et un participants sont randomisés pour s’entraîner (HIIT avec une modification des habitudes de vie; « HIIT+ ») pendant 12 semaines ou être sur la liste d’attente (« WLC »). Les tests sont effectués au début, immédiatement après et 3 mois après l’intervention. Des équations d’estimation généralisées sont utilisées pour évaluer dans les groupes les changements des valeurs des variables de résultat au fil du temps. Le pourcentage moyen de fréquence cardiaque maximale prédite selon l’âge est de 97,9 % et l’évaluation moyenne de l’effort perçu est de 6,33 (sur 10) pendant HIIT. À la suite de l’intervention, le groupe HIIT+ révèle un enrichissement en abondance relative de Parabacteroides et Defluviitaleaceae_UCG_011 tandis que le groupe WLC présente un enrichissement en abondance relative de Roseburia intestinalis, Klebsiella et Adlercreutzia. Trois mois après l’intervention, un ensemble unique de taxons est distinctement abondant dans les groupes. Comparativement au groupe WLC, les participants du groupe HIIT+ constatent une réduction de la fréquence cardiaque au repos (−6,6 bpm) immédiatement après l’intervention. Des recherches additionnelles sont requises pour établir un protocole HIIT optimal qui pourrait améliorer les biomarqueurs de la consommation maximale d’oxygène et du syndrome métabolique. Les résultats de cette étude pilote fournissent des preuves préliminaires qu’une intervention au moyen de HIIT+ est faisable pour les adultes inactifs atteints de la maladie cœliaque et conduit à des changements favorables de la HR au repos parallèlement à des changements potentiellement bénéfiques du microbiote intestinal.
Les nouveautés :
• L’entraînement par intervalles à haute intensité entraîne des changements potentiellement bénéfiques dans le microbiote intestinal des adultes atteints de la maladie cœliaque.
• Un entraînement par intervalles à haute intensité est faisable et bien toléré par les patients atteints de la maladie cœliaque.