Effet du sucralose sur la sensibilité à l'insuline?

[Nutrimuscle-Conseils]

Effects of Sucralose Ingestion versus Sucralose Taste on Metabolic Responses to an Oral Glucose Tolerance Test in Participants with Normal Weight and Obesity: A Randomized Crossover Trial
by Alexander D. Nichol Nutrients 2020, 12(1), 29;

Here, we tested the hypothesis that sucralose differentially affects metabolic responses to labeled oral glucose tolerance tests (OGTTs) in participants with normal weight and obesity. Participants (10 with normal weight and 11 with obesity) without diabetes underwent three dual-tracer OGTTs preceded, in a randomized order, by consuming sucralose or water, or by tasting and expectorating sucralose (e.g., sham-fed; sweetness control). Indices of β-cell function and insulin sensitivity (SI) were estimated using oral minimal models of glucose, insulin, and C-peptide kinetics.

Compared with water, sucralose ingested (but not sham-fed) resulted in a 30 ± 10% increased glucose area under the curve in both weight groups. In contrast, the insulin response to sucralose ingestion differed depending on the presence of obesity: decreased within 20–40 min of the OGTT in normal-weight participants but increased within 90–120 min in participants with obesity.

Sham-fed sucralose similarly decreased insulin concentrations within 60 min of the OGTT in both weight groups. Sucralose ingested (but not sham-fed) increased SI in normal-weight participants by 52 ± 20% but did not affect SI in participants with obesity. Sucralose did not affect glucose rates of appearance or β-cell function in either weight group. Our data underscore a physiological role for taste perception in postprandial glucose responses, suggesting sweeteners should be consumed in moderation.

[Nutrimuscle-Conseils]

participants drank 60 mL of 2 mmol/L sucralose (i.e., 48 mg sucralose, as in our previous study [18]) or an equivalent volume of distilled water, or they sham-fed sucralose. The sham-feeding procedure consisted of swishing the same amount of sucralose in their mouth for ~5 s and then spitting it out.

[Nutrimuscle-Diététique]

Effets De L'ingestion De Sucralose Contre Le Goût De Sucralose Sur Les Réponses Métaboliques À Un Test De Tolérance Au Glucose Oral Chez Les Participants Avec Un Poids Normal Et L'obésité: Un Essai Croisé Randomisé
par Alexander D. Nichol Nutrients 2020, 12 (1), 29;

Ici, nous avons testé l'hypothèse que le sucralose affecte différemment les réponses métaboliques aux tests de tolérance au glucose par voie orale étiquetés (OGTT) chez les participants avec un poids normal et l'obésité. Les participants (10 avec un poids normal et 11 avec une obésité) sans diabète ont subi trois OGTT à double traceur précédés, dans un ordre aléatoire, en consommant du sucralose ou de l'eau, ou en goûtant et en expectorant du sucralose (par exemple, simulé, contrôle de la douceur). Les indices de la fonction des cellules β et de la sensibilité à l'insuline (SI) ont été estimés à l'aide de modèles oraux minimaux de cinétique du glucose, de l'insuline et du C-peptide.

Comparé à l'eau, le sucralose ingéré (mais pas simulé) a entraîné une augmentation de la surface de glucose de 30 ± 10% sous la courbe dans les deux groupes de poids. En revanche, la réponse de l'insuline à l'ingestion de sucralose différait en fonction de la présence d'obésité: diminuée dans les 20 à 40 minutes de l'OGTT chez les participants de poids normal mais augmentée dans les 90 à 120 minutes chez les participants obèses.

Le sucralose simulé nourri a également diminué les concentrations d'insuline dans les 60 minutes de l'OGTT dans les deux groupes de poids. Le sucralose ingéré (mais pas simulé) a augmenté l'IS chez les participants de poids normal de 52 ± 20%, mais n'a pas affecté l'IS chez les participants obèses. Le sucralose n'a pas affecté les taux d'apparition du glucose ni la fonction des cellules β dans les deux groupes de poids. Nos données soulignent un rôle physiologique pour la perception du goût dans les réponses postprandiales au glucose, suggérant que les édulcorants devraient être consommés avec modération.

les participants ont bu 60 ml de sucralose à 2 mmol / L (c.-à-d. 48 mg de sucralose, comme dans notre étude précédente [18]) ou un volume équivalent d'eau distillée, ou ils ont nourri du sucralose de façon factice. La procédure d'alimentation simulée consistait à faire suer la même quantité de sucralose dans leur bouche pendant environ 5 secondes, puis à la recracher.