L'influence d'une sieste d'après-midi sur la performance d'endurance de coureurs entraînés
Anthony W. Blanchfield European Journal of Sport Science Volume 18, 2018 - Numéro 9
L'efficacité d'une sieste en tant que stratégie de récupération pour l'exercice d'endurance est inconnue et la présente étude a donc examiné l'effet de la sieste sur la performance de l'exercice d'endurance. Onze hommes ont suivi cette étude randomisée croisée. À deux reprises, les coureurs ont terminé le tapis roulant pendant 30 minutes à 75% ⩒O 2max le matin, revenant le soir à 20 minutes à 60% ⩒O 2max , puis à épuisement à 90% ⩒O 2max . Lors d'un essai, les coureurs ont fait une sieste l'après-midi environ 90 minutes avant l'exercice du soir, tandis que les coureurs ne l'ont pas fait (idiot). Tous les coureurs ont fait la sieste (20 ± 10 min), mais le temps d’épuisement n’a pas été amélioré dans tous les coureurs (NAP 596 ± 148 s contre idiot 589 ± 216 s, P = 0,83). Les coureurs qui ont amélioré l'ETM après la sieste ont dormi moins la nuit que ceux qui n'ont pas amélioré l'ETT (sommeil nocturne 6,4 ± 0,7 h contre 7,5 ± 0,4 h, P <0,01). De plus, le sommeil nocturne a prévu un changement de TTE, indiquant que les coureurs dormant le moins la nuit amélioraient le plus le TTE après la sieste par rapport à idiot ( r 2 = −0,76, P = 0,001). Chez les coureurs qui ont amélioré l’ETT, les évaluations de l’effort perçu (EPR) ont été plus faibles pendant l’ETT sur la PAN que la idiot par rapport aux coureurs qui ne se sont pas améliorés (-0,4 ± 0,6 vs 0 ± 0, P). = 0,05).
La réduction du sens de l'effort peut expliquer l'amélioration de la TTE après la sieste. En conclusion, une courte sieste l'après-midi améliore la performance d'endurance chez les coureurs qui obtiennent moins de 7 heures de sommeil nocturne.