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On mange moins = on anabolise moins

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On mange moins = on anabolise moins

Messagepar Nutrimuscle-Conseils » 28 Avr 2020 18:16

Caloric restriction induces anabolic resistance to resistance exercise
Chaise Murphy European Journal of Applied Physiology volume 120, pages1155–1164(2020)

Purpose
Weight loss can result in the loss of muscle mass and bone mineral density. Resistance exercise is commonly prescribed to attenuate these effects. However, the anabolic endocrine response to resistance exercise during caloric restriction has not been characterized.

Methods
Participants underwent 3-day conditions of caloric restriction (15 kcal kg FFM−1) with post-exercise carbohydrate (CRC) and with post-exercise protein (CRP), and an energy balance control (40 kcal kg FFM−1) with post-exercise carbohydrate (idiot). Serial blood draws were taken following five sets of five repetitions of the barbell back squat exercise on day 3 of each condition.

Results
In CRC and CRP, respectively, growth hormone peaked at 2.6 ± 0.4 and 2.5 ± 0.9 times the peak concentrations observed during idiot. Despite this, insulin-like growth factor-1 concentrations declined 18.3 ± 3.4% in CRC and 27.2 ± 3.8% in CRP, which was greater than the 7.6 ± 3.6% decline in idiot, over the subsequent 24 h. Sclerostin increased over the first 2 days of each intervention by 19.2 ± 5.6% in CRC, 21.8 ± 6.2% in CRP and 13.4 ± 5.9% in idiot, but following the resistance exercise bout, these increases were attenuated and no longer significant.

Conclusion
During caloric restriction, there is considerable endocrine anabolic resistance to a single bout of resistance exercise which persists in the presence of post-exercise whey protein supplementation. Alternative strategies to restore the sensitivity of insulin-like growth factor-1 to growth hormone need to be explored.
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Re: On mange moins = on anabolise moins

Messagepar Nutrimuscle-Conseils » 28 Avr 2020 18:17

incroyable, en lisant internet, on aurait parié le contraire
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Re: On mange moins = on anabolise moins

Messagepar alexisbrv » 28 Avr 2020 20:01

Internet nous dit qu'il faut jeûner pour prendre du muscle :arrow:
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Re: On mange moins = on anabolise moins

Messagepar Nutrimuscle-Conseils » 29 Avr 2020 11:30

Moins on mange, plus on produit de GH... génial... mais moins on anabolise...
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Re: On mange moins = on anabolise moins

Messagepar Nutrimuscle-Conseils » 29 Avr 2020 11:32

Moins il mange, moins le bodybuilder produit d'IGF-1
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Re: On mange moins = on anabolise moins

Messagepar Nutrimuscle-Diététique » 30 Avr 2020 14:50

Traduction de l'étude :wink:

La restriction calorique induit une résistance anabolique à l'exercice de résistance
Chaise Murphy European Journal of Applied Physiology volume 120, pages 1155 à 1164 (2020)

Objectif
La perte de poids peut entraîner une perte de masse musculaire et de densité minérale osseuse. Un exercice de résistance est généralement prescrit pour atténuer ces effets. Cependant, la réponse endocrine anabolique à l'exercice de résistance pendant la restriction calorique n'a pas été caractérisée.

Les méthodes
Les participants ont subi des conditions de restriction calorique de 3 jours (15 kcal kg FFM − 1) avec des glucides post-exercice (CRC) et avec des protéines post-exercice (CRP), et un contrôle de l'équilibre énergétique (40 kcal kg FFM − 1) avec post -exercer les glucides (idiot). Des prélèvements sanguins en série ont été effectués après cinq séries de cinq répétitions de l'exercice de squat arrière avec haltères le jour 3 de chaque condition.

Résultats
Dans le CRC et le CRP, respectivement, l'hormone de croissance a culminé à 2,6 ± 0,4 et 2,5 ± 0,9 fois les concentrations maximales observées pendant l'idiot. Malgré cela, les concentrations de facteur de croissance analogue à l'insuline-1 ont diminué de 18,3 ± 3,4% dans le CRC et de 27,2 ± 3,8% dans le CRP, ce qui était supérieur à la baisse de 7,6 ± 3,6% chez l'idiot, au cours des 24 heures suivantes. La sclérostine a augmenté au cours des 2 premiers jours de chaque intervention de 19,2 ± 5,6% dans le CRC, 21,8 ± 6,2% dans le CRP et 13,4 ± 5,9% chez le témoin, mais à la suite de l'exercice de résistance, ces augmentations ont été atténuées et ne sont plus significatives.

Conclusion
Pendant la restriction calorique, il existe une résistance anabolique endocrine considérable à un seul exercice de résistance qui persiste en présence d'une supplémentation en protéines de lactosérum après l'exercice. Des stratégies alternatives pour restaurer la sensibilité du facteur de croissance analogue à l'insuline 1 à l'hormone de croissance doivent être explorées.
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