Manque de vitamine D chez les sportifs en salle?

[Nutrimuscle-Conseils]

The Effects of Cholecalciferol Supplementation on Vitamin D Status Among a Diverse Population of Collegiate Basketball Athletes: A Quasi-Experimental Trial
by Nicole M. Sekel Nutrients 2020, 12(2), 370;

Vitamin D may play a role in performance and injury risk, yet the required supplementation dosage for collegiate athletes is unclear. The objective of this study was to define the dosage of vitamin D3 supplementation required to beneficially affect serum 25-hydroxyvitamin D (25(OH)D) among a sample of collegiate basketball athletes. This was a quasi-experimental trial, participants were allocated to one of three groups of vitamin D3 daily at the beginning of pre-season training and dependent upon their baseline vitamin D status as follows: insufficient (<75 nmol/L) to 10,000 IU, sufficient (75–125 nmol/L) to 5000 IU and optimal (>125 nmol/L) to no supplementation. Follow-up assessments were completed ~ 5 months later in post season. The majority (n = 13) were allocated to 10,000 IU vs. n = 5 to 5000 IU and n = 2 to no supplementation. The 10,000 IU group showed the greatest change (35.0 ± 27.0 nmol/L) vs. the 5000 IU group (−9.3 ± 9.6 nmol/L) and no supplementation group (−41.6 ± 11.7 nmol/L, p < 0.01). Only 1 participant reached optimal status in the 10,000 IU group.

In conclusion, a daily dosage of 10,000 IU vitamin D3 supplementation mitigated the high prevalence of vitamin D deficiency among collegiate basketball players but was insufficient for all to reach sufficient levels.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l’étude
Les effets de la supplémentation en cholécalciférol sur le statut en vitamine D parmi une population diversifiée d'athlètes de basket-ball collégiaux: un essai quasi-expérimental
par Nicole M. Sekel Nutrients 2020, 12 (2), 370;

La vitamine D peut jouer un rôle dans la performance et le risque de blessure, mais la dose de supplémentation requise pour les athlètes collégiaux n'est pas claire. L'objectif de cette étude était de définir la dose de supplémentation en vitamine D3 requise pour affecter de manière bénéfique la 25-hydroxyvitamine D sérique (25 (OH) D) parmi un échantillon[b] d'athlètes de basket-ball collégiaux[/b]. Il s'agissait d'un essai quasi expérimental, les participants ont été affectés à l'un des trois groupes de vitamine D3 quotidiennement au début de l'entraînement pré-saison et en fonction de leur état de base en vitamine D, comme suit: insuffisant (<75 nmol / L) à 10000 UI , suffisante (75–125 nmol / L) à 5000 UI et optimale (> 125 nmol / L) à aucune supplémentation. Les évaluations de suivi ont été terminées ~ 5 mois plus tard dans l'après-saison. La majorité (n = 13) a été attribuée à 10 000 UI vs n = 5 à 5 000 UI et n = 2 à aucune supplémentation. Le groupe de 10000 UI a montré le plus grand changement (35,0 ± 27,0 nmol / L) par rapport au groupe de 5000 UI (−9,3 ± 9,6 nmol / L) et aucun groupe de supplémentation (−41,6 ± 11,7 nmol / L, p <0,01). Seul 1 participant a atteint le statut optimal dans le groupe de 10 000 UI.

En conclusion, une dose quotidienne de 10000 UI de supplémentation en vitamine D3 a atténué la forte prévalence de carence en vitamine D chez les joueurs de basket-ball collégiaux mais était insuffisante pour que tous atteignent des niveaux suffisants.