Meilleur microbiote = plus de vitamine D active?

[Nutrimuscle-Conseils]

Vitamin D metabolites and the gut microbiome in older men
Robert L. Thomas, Nature Communications volume 11, Article number: 5997 (2020)

The vitamin D receptor is highly expressed in the gastrointestinal tract where it transacts gene expression. With current limited understanding of the interactions between the gut microbiome and vitamin D, we conduct a cross-sectional analysis of 567 older men quantifying serum vitamin D metabolites using LC-MSMS and defining stool sub-Operational Taxonomic Units from16S ribosomal RNA gene sequencing data. Faith’s Phylogenetic Diversity and non-redundant covariate analyses reveal that the serum 1,25(OH)2D level explains 5% of variance in α-diversity. In β-diversity analyses using unweighted UniFrac, 1,25(OH)2D is the strongest factor assessed, explaining 2% of variance. Random forest analyses identify 12 taxa, 11 in the phylum Firmicutes, eight of which are positively associated with either 1,25(OH)2D and/or the hormone-to-prohormone [1,25(OH)2D/25(OH)D] “activation ratio.”

Men with higher levels of 1,25(OH)2D and higher activation ratios, but not 25(OH)D itself, are more likely to possess butyrate producing bacteria that are associated with better gut microbial health.

[Nutrimuscle-Conseils]

The consistency and robustness of results in finding active vitamin D metabolites associated with more favorable gut microbial diversity, including specific microbiota that are known butyrate producers, provide potential targets for intervention, whether through dietary modification and/or vitamin D supplementation in clinically appropriate populations.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

Métabolites de la vitamine D et microbiome intestinal chez les hommes âgés
Robert L. Thomas, Nature Communications volume 11, numéro d'article: 5997 (2020)

Le récepteur de la vitamine D est fortement exprimé dans le tractus gastro-intestinal où il transforme l'expression génique. Avec une compréhension limitée actuelle des interactions entre le microbiome intestinal et la vitamine D, nous effectuons une analyse transversale de 567 hommes âgés quantifiant les métabolites sériques de la vitamine D à l'aide de LC-MSMS et définissant les unités taxonomiques sous-opérationnelles des selles à partir des données de séquençage du gène de l'ARN ribosomal 16S. La diversité phylogénétique de Faith et les analyses de covariables non redondantes révèlent que le niveau sérique de 1,25 (OH) 2D explique 5% de la variance de la diversité α. Dans les analyses de diversité β utilisant UniFrac non pondéré, 1,25 (OH) 2D est le facteur le plus important évalué, expliquant 2% de la variance. Des analyses forestières aléatoires identifient 12 taxons, 11 dans le phylum Firmicutes, dont huit sont positivement associés soit à la 1,25 (OH) 2D et / ou à l'hormone à prohormone [1,25 (OH) 2D / 25 (OH) D] «taux d'activation».

Les hommes ayant des niveaux plus élevés de 1,25 (OH) 2D et des taux d'activation plus élevés, mais pas le 25 (OH) D lui-même, sont plus susceptibles de posséder des bactéries productrices de butyrate qui sont associées à une meilleure santé microbienne intestinale. la découverte de métabolites actifs de la vitamine D associés à une diversité microbienne intestinale plus favorable, y compris un microbiote spécifique qui sont des producteurs de butyrate connus, fournissent des cibles potentielles d'intervention, que ce soit par le biais d'une modification du régime alimentaire et / ou d'une supplémentation en vitamine D dans les populations cliniquement appropriées.