La musculation intense augmente le stress oxydant

[Nutrimuscle-Conseils]

Stress responses to short-term intensified and reduced training in competitive weightlifters
A. G. Storey Scandinavian Journal of Medicine & Science in Sports Volume 26, Issue 1, pages 29–40, January 2016

We sought to identify and evaluate the tolerance to, and consequences of, short-term variations in training load in competitive weightlifters.

Seven international-level lifters performed 1 week of initial training followed by 2 weeks of intensified (INT: +100%, 36.5 ± 11.3 × 103 kg/week) and 1 week of subsequently reduced (RED: −25%) training within their annual program. After INT, but not RED, 90 min of weightlifting increased mRNA levels of chemokine (C-C motif) ligand 4 (CCL4), chemokine (C-X-C motif) receptor 4 (CXCR4) and cellular stress-associated DNA-damage-inducible transcript 4 (DDIT4) in peripheral blood mononuclear cells by 40–240%.

Resting- and weightlifting-induced changes in plasma protein carbonyls, indicative of oxidative stress, but not pro-inflammatory CCL4 concentrations differed between INT and RED. Symptoms of stress (Daily Analysis of Life Demands of Athletes questionnaire) were reported as worse than normal more frequently during INT and RED than initial training. Global (negative) mood state increased during INT and declined during RED. Maximal snatch (−4.3 ± 3.7%) and vertical jump (−7.2 ± 6.5%), but not clean and jerk, were reduced after INT and restored after RED. Chemokine signaling may thus be part of the stress response to intense weightlifting and short-term reductions in training load support recovery from periodic INT training in weightlifters.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l’étude

La réponse à un stress de façon plus court et intensif a réduit l’entrainement chez des haltérophiles.
AG Storey Scandinavian Journal of Medicine & Science in Sports Volume 26, Issue 1, pages 29-40, Janvier 2016

Nous avons cherché à identifier et à évaluer la tolérance, et les conséquences des variations à court terme de la charge lors de l’entrainement des haltérophiles.

7 haltérophiles de niveau international ont effectué 1 semaine d’entrainement initiale suivie par 2 semaines de l'intensification (INT: + 100%, 36,5 ± 11,3 × 103 kg / semaine) et 1 semaine de façon plus légère (RED: -25%). Après INT, pendant 90 minutes, une augmentation des taux d'ARNm de chimiokine (CC motif) ligand 4 (CCl4), chimiokine (CXC motif) récepteur 4 (CXCR4) et associé au stress de l’ADN endommagé inductible transcription 4 (DDIT4 ) dans les cellules périphériques mononucléaires sanguines de 40 à 240%.

Les changements induits dans le plasma protéiques, les indicatifs de stress oxydatif, mais les concentrations de CCL4 pas pro-inflammatoires différaient entre INT et à haute intensité. Les symptômes de stress (analyse quotidienne des exigences de la vie des athlètes questionnaire) ont été signalés comme étant pire que la normale et plus fréquemment pendant INT et pendant la période la plus intensive de la formation initiale. L’humeur négative a augmentée au cours de l'INT et a diminué pendant la période la plus intensive. L’arraché maximale (-4,3 ± 3,7%) et le saut vertical (-7,2 ± 6,5%), mais pas l'épaulé-jeté, ont été réduites après l'INT et restaurés pendant la période la plus intensive. La signalisation de chimiokine peut faire partie de la contrainte, à court terme, notamment dans la récupération après l’entrainement INT périodique chez les haltérophiles.