1 pomme par jour augmente l’espérance de vie

[Nutrimuscle-Conseils]

Apple intake is inversely associated with all-cause and disease-specific mortality in elderly women.
Hodgson JM Br J Nutr. 2016 Mar;115(5):860-7.

Higher fruit intake is associated with lower risk of all-cause and disease-specific mortality. However, data on individual fruits are limited, and the generalisability of these findings to the elderly remains uncertain. The objective of this study was to examine the association of apple intake with all-cause and disease-specific mortality over 15 years in a cohort of women aged over 70 years. Secondary analyses explored relationships of other fruits with mortality outcomes. Usual fruit intake was assessed in 1456 women using a FFQ. Incidence of all-cause and disease-specific mortality over 15 years was determined through the Western Australian Hospital Morbidity Data system. Cox regression was used to determine the hazard ratios (HR) for mortality. During 15 years of follow-up, 607 (41·7 %) women died from any cause.

In the multivariable-adjusted analysis, the HR for all-cause mortality was 0·89 (95 % CI 0·81, 0·97) per sd (53 g/d) increase in apple intake, HR 0·80 (95 % CI 0·65, 0·98) for consumption of 5-100 g/d and HR 0·65 (95 % CI 0·48, 0·89) for consumption of >100 g/d (an apple a day), compared with apple intake of <5 g/d (P for trend=0·03).

Our analysis also found that higher apple intake was associated with lower risk for cancer mortality, and that higher total fruit and banana intakes were associated lower risk of CVD mortality (P<0·05). Our results support the view that regular apple consumption may contribute to lower risk of mortality.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l’étude

La pomme est inversement associée à toutes causes confondues et la mortalité par maladie chez les femmes âgées.
Hodgson JM Br J Nutr. 2016 Mar; 115 (5): 860-7.

Un apport plus élevé en fruits est associée à un risque plus faible de toutes causes confondues et la mortalité par maladie. Toutefois, les données sur la prise de fruit individuel sont limités. L'objectif de cette étude était d’examiner l'association entre la consommation de pomme avec toutes causes confondues et la mortalité par maladie de plus de 15 ans dans une cohorte de femmes âgées de plus de 70 ans. Des analyses secondaires ont exploré les relations d'autres fruits avec des résultats de mortalité. La consommation de fruits a été évalué chez 1456 femmes en utilisant un FFQ. L’incidence de toutes causes confondues et la mortalité par maladie de plus de 15 ans, a été déterminé par l'Australian régression sur la mortalité. Cox Western a été déterminé les ratios de risque (HR) pour la mortalité. Pendant 15 ans de suivi, 607 (41 • 7%) certaines femmes sont décédés de cause quelconque.

Dans l'analyse multivariée ajustée, le HR pour la mortalité toutes causes confondues était de 0 • 89 (95% CI 0 • 81, 0 • 97) par sd (53 g / d) par l’augmentation de la consommation de pommes, HR 0 • 80 (95% CI 0 • 65, 0 • 98) pour la consommation de 5-100 g / j et HR 0 • 65 (95% CI 0 • 48, 0 • 89) pour la consommation de> 100 g / d (une pomme par jour), par rapport à la consommation de pommes de <5 g / j (p pour la tendance = 0 • 03).

Notre analyse ainsi trouvé qu’ une plus grande consommation de pomme a été associée à un risque plus faible pour la mortalité pour le cancer, et l’apport totaux plus élevés en pomme et en banane étaient associés à un risque plus faible de mortalité par MCV (P <0 • 05). Nos résultats soutiennent l'idée qu’une consommation régulière de pommes peut contribuer à réduire le risque de mortalité.