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Protéine de soja comme booster d'insuline et hypoglycémiant

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Protéine de soja comme booster d'insuline et hypoglycémiant

Messagepar Nutrimuscle-Conseils » 20 Jan 2017 19:18

Effect of soy protein isolate preload on postprandial glycemic control in healthy humans
Nutrition Volume 32, Issue 9, September 2016, Pages 965–969 Hideaki Kashima

Highlights
• Soy protein isolate consumption before oral glucose tolerance test (as a simulated carbohydrate-rich main meal) improves postprandial glycemia.
• Soy protein isolate preload enhanced the insulinotropic effect in a dose-dependent manner.
• This positive effect could be induced by not only stimulating insulin secretion but also by possibly slowing gastric emptying.


Premeal consumption of whey protein improves the postmeal glycemic profile, but little information exists on soy protein. The study aim was to examine the effect of consuming different amounts of a soy protein isolate (SPI) before a 75-g oral glucose tolerance test (OGTT) on subsequent glycemic control.

Methods

After overnight fasting, eight healthy young subjects consumed a 400-mL liquid meal containing 0 g (SP0), 20 g (SP20) or 40 g (SP40) SPI. Thirty minutes after SPI consumption, an OGTT was performed to evaluate the individual glycemic response. Blood glucose and plasma insulin concentrations were measured immediately before the SPI preload (i.e., 30 min before the start of the OGTT) and before (−10 min) and during the OGTT (15, 30, 45, 60, 90, and 120 min).

Results

The incremental area under the curve and peak blood glucose response were significantly less for SP40 than those for SP0 and SP20. Insulin secretion was significantly higher for SP20 and SP40 than that for SP0 before and at 15 min after oral glucose consumption. The incremental area under the curve of plasma insulin was significantly higher for SP20 and SP40 than that for SP0.

Conclusions

An SPI preload of 40 g, but not 20 g, improved glycemic control in young healthy subjects. Glycemic control appears to be attributed not only to the exaggerated insulin response to SPI preload, but also to non-insulin dependent mechanism(s), such as delayed gastric emptying.
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Re: Protéine de soja comme booster d'insuline et hypoglycémi

Messagepar Nutrimuscle-Diététique » 25 Jan 2017 12:33

Traduction de l’étude :wink:

L’effet de la précharge d'isolat de protéine de soja sur le contrôle glycémique postprandial chez des humains en bonne santé
Nutrition Volume 32, numéro 9, septembre 2016, Pages 965-969 Hideaki Kashima

Points importants
• La consommation d'isolat de protéines de soja avant le test oral de tolérance au glucose (en tant que repas principal riche en glucides simulé) améliore la glycémie postprandiale.
• La précharge d'isolat de protéine de soja a augmenté l'effet insulinotrope de manière dose-dépendante.
• Cet effet positif pourrait être induit non seulement par la stimulation de la sécrétion d'insuline, mais aussi par le ralentissement éventuel de la vidange gastrique.

La consommation de whey protéines améliore le profil glycémique post-repas, mais peu d'informations existent sur la protéine de soja. L'objectif de l'étude était d'examiner l'effet de la consommation de différentes quantités d'un isolat de protéine de soja (SPI) avant un test de tolérance au glucose orale de 75 g (OGTT) sur le contrôle glycémique ultérieur.

Méthodes
Après une nuit de jeûne, huit jeunes sujets en bonne santé ont consommé 400 ml de liquide contenant 0 g (SP0), 20 g (SP20) ou 40 g (SP40) SPI. Trente minutes après la consommation de SPI, une OGTT a été réalisée pour évaluer la réponse glycémique individuelle. Les concentrations de glucose sanguin et d'insuline plasmatique ont été mesurées immédiatement avant la précharge SPI (c'est-à-dire 30 min avant le début de l'OGTT) et avant (-10 min) et pendant l'OGTT (15, 30, 45, 60, 90 et 120 min ).

Résultats
La surface incrémentielle sous la courbe et la réponse maximale de la glycémie étaient significativement moindres pour SP40 que pour SP0 et SP20. La sécrétion d'insuline était significativement plus élevée pour SP20 et SP40 que pour SP0 avant et 15 min après la consommation orale de glucose. La surface incrémentale sous la courbe de l'insuline plasmatique était significativement plus élevée pour SP20 et SP40 que pour SP0.

Conclusions
Une consommation SPI de 40 g, mais pas de 20 g, a amélioré le contrôle glycémique chez les jeunes sujets en bonne santé. Le contrôle glycémique semble être attribué non seulement à la réponse exagérée de l'insuline à la consommation SPI, mais aussi au mécanisme (s) non insulinodépendant (s), tel que la vidange gastrique retardée
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