Aucun effet aigu de la supplémentation en placebo ou en placebo ouverte sur la force et la fatigue neuromusculaire
Dennis P. Kwon, Medicine & Science in Sports & Exercise. 51(6):44, June 2019. 360
Objectif: Nous avons utilisé un modèle de mesures répétées pour examiner les effets aigus du placebo, du placebo en ouvert et des traitements de contrôle sur la force musculaire et l'activation volontaire.
(Expérience n ° 1), ainsi que la fatigue neuromusculaire (Expérience n ° 2).
Méthodes: Après une séance de familiarisation, 21 hommes et 11 femmes non formés (n = 10) se sont rendus au laboratoire à trois reprises pour recevoir un placebo, un placebo en ouvert et un contrôle.
traitements de manière randomisée et contrebalancée. Toutes les visites comportaient un prétest, une période d’intervention de 15 minutes et un post-test. Toutes les visites ont eu lieu à la même heure de la journée. Le temps entre les séances duraient ≥ 48 heures mais moins d'une semaine. Les conditions de laboratoire ont été constantes tout au long de l’étude et les participants ont été priés de maintenir leur niveau d’activité physique, leurs habitudes alimentaires et
consommation de caféine conforme. Dans l'expérience n ° 1, le couple maximal et le pourcentage d'activation volontaire de la contraction isométrique volontaire de l'extenseur du genou (MVIC) ont été évalués. En expérimentation
N ° 2, les participants ont réalisé 20 MVIC de six secondes tandis que des signaux électromyographiques de surface étaient détectés à partir du vaste latéral. Évaluations subjectives de l'énergie et de l'effort perçu
ont également été examinés.
RÉSULTATS: Dans l'expérience n ° 1, il n'y avait aucune différence entre les interventions pour le couple maximal ou l'activation volontaire, mais un effet principal a révélé que les niveaux d'énergie augmentaient après tout. traitements (p = 0,016, η2 = 0,257). L’expérience n ° 2 a démontré que les traitements placebo et placebo ouverts n’avaient aucune influence sur la fatigue neuromusculaire, mais que les effets principaux étaient les suivants: décroît en couple maximal absolu (p = 0,001, η2 = 0,675) et normalisé (p = 0,001, η2 = 0,765), la fréquence moyenne électromyographique normalisée (p = 0,001, η2 = 0,565), l'efficacité neuromusculaire (p = 0,001, η2 = 0,585) et les niveaux d'énergie (p = 0,006, η2 = 0,317).
CONCLUSIONS: Comparés à une condition de contrôle, les traitements placebo et placebo ouverts n’avaient que peu d’influence sur la force musculaire, l’activation volontaire et la résistance à la fatigue chez participants non formés.