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Apparemment il revient d'un très sérieux et grave accident : colonne vertébrale écrasée et 8 vertèbres thoraciques de bousillées (+ un quadriceps arraché 8 semaine en faisant du hack squat lourd avant le tournage de la vidéo). J'étais pas fan de son style dans les anciennes vidéos où il en faisait des caisses (en même temps c'était un peu plus divertissant que les vid' de certains pros qui ont l'air sous Tranxène), mais bon, revenir après des pépins de santé comme ça, et les opérations qui vont avec. C'est la classe !
Ça porte la poisse d'être pro : entre ceux qui vont en taule, ceux qui sont brûlés, qui tombent d'une échelle, qui subissent des greffes etc. Pas cool...
La poudre sur le nez ? C'était parce qu'il s'était mouché après avoir mis de la magnésie.
Jean Texier, ancien culturiste et collaborateur de la revue spécialisée Le Monde du Muscle : ‘Il y a une dizaine d’années, de nombreux bodybuilders californiens marchaient à la cocaïne. On extrait la cocaïne de feuilles de coca que les Indiens d’Amérique du Sud mâchent pour augmenter leur force et leur endurance. La cocaïne permet de mieux supporter les sensations douloureuses au cours des dernières répétitions des séries très intenses, ce qui aide le bodybuilder à se dépasser. De plus, elle sensibilise les muscles à l’action du système nerveux, ce qui augmente la force.’ [in ‘Tout savoir sur les anabolisants’. – Paris, éd. Jibena, 1988. – 317 p (p 257)] Si j'ai bonne mémoire il filait même des noms dans un de ses bouquins ou un dossier du MduM sur des champions des années 80 qui utilisaient la coke pour dépasser les limites de leur système nerveux.
J'avais entendu dans un C'est dans l'air sur le dopage, que lorsque l'on a commencé à organiser les premières courses de vélo (fin 19ème siècle, on faisait tourner les gars en rond pendant des heures dans des vélodromes), on leur filer de la cocaïne car à l'époque c'était un des seuls produits dopants que l'on connaissait et que c'était ce que l'on filait aux chevaux (à petites doses) pour les faire courir plus vite.
Sinon, niveau training c'est sûr c'était intense. C'est le côté fort en bouche que j'aimais moins.
C'était les années 80, les années frime. Il fallait que ça en jette !
(vidéo ci-dessous à partir de 11mn - url à partir de séquence pas marcher )