Vitamine K: bonne pour la protection neuronale?

[Nutrimuscle-Conseils]

Speculations on vitamin K, VKORC1 genotype and autism
Medical Hypotheses Volume 96, November 2016, Pages 30–33 M.C. DeSoto

Humans vary in the gene that encodes for Vitamin K epoxide reductase complex (VKORC1). Recent research has documented the protective effect of Vitamin K on neural cells and its role in maintaining normal neural development. Of interest, specific neural effects of Vitamin K overlap with key brain development aberrations, including those associated with autism. Furthermore, Vitamin K protects against oxidative stress associated with toxic exposure.

Research on the neural effects is reviewed, and a small sample of severely autistic children of Somali descent residing in the Minneapolis/St. Paul area of Minnesota were genotyped and found to have a higher than expected genetic substitution that results in reduction in the efficiency of the Vitamin K cycle. The possibility that this genetic difference could play an etiological role in the development of autism is considered.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l’étude

La vitamine K, le génotype VKORC1 et l'autisme
Hypothèses médicales Volume 96, novembre 2016, pages 30-33 M.C. DeSoto

Les humains varient dans le gène qui code la vitamine K époxyde réductase complexe (VKORC1). Des recherches récentes ont documenté l'effet protecteur de la vitamine K sur les cellules neurales et son rôle dans le maintien du développement normal des neurones. D'intérêt, les effets neuronaux spécifiques de la vitamine K se chevauchent avec des aberrations clés du développement cérébral, y compris celles associées à l'autisme. En outre, la vitamine K protège contre le stress oxydatif associé à une exposition toxique.

La recherche sur les effets neuronaux est examinée, et un petit échantillon d 'enfants sévèrement autistes de descendance somalienne résidant dans le Minneapolis / St. Paul du Minnesota ont été génotypés et ont trouvé une plus grande que la substitution génétique attendue qui se traduit par une réduction de l'efficacité du cycle de vitamine K. La possibilité que cette différence génétique puisse jouer un rôle étiologique dans le développement de l'autisme est considérée.