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Carence en micronutriments et immunité face aux virus?

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Re: Carence en micronutriments et immunité face aux virus?

Messagepar Nutrimuscle-Conseils » 5 Oct 2022 10:25

Association of fruits, vegetables, and fiber intake with COVID-19 severity and symptoms in hospitalized patients: A cross-sectional study
Kiana Tadbir Vajargah Front. Nutr., 29 September 2022

Background and aims: Fruits and vegetables are rich in fiber and a good source of anti-inflammatory and immune-boosting vitamins, minerals, and antioxidants. We investigated the association between fruits, vegetables, and fiber intake and severity of COVID-19 and related symptoms in hospitalized patients.

Methods: A total of 250 COVID-19 hospitalized patients aged 18 to 65 years were recruited for this cross-sectional study in Kashan, Iran, between June and September of 2021. Dietary intakes were assessed using an online validated 168-item food frequency questionnaire (FFQ). COVID-19 severity and symptoms were evaluated using the National Institutes of Health (NIH) COVID-19 Treatment Guidelines. Moreover, we examined COVID-19 symptoms, inflammatory biomarkers, and additional factors.

Results: The mean age of participants was 44.2 ± 12.1 years, and 46% had severe COVID-19. Patients with higher consumption of fruits (OR: 0.28; 95% CI: 0.14-0.58, P-trend <0.001), vegetables (OR: 0.33; 95% CI: 0.16-0.69, P-trend <0.001), and dietary fiber (OR: 0.25; 95% CI: 0.12-0.53, P-trend <0.001) had lower odds of having severe COVID-19. In addition, they had shorter hospitalization and convalescence periods, lower serum C-reactive protein (CRP), and a reduced risk of developing COVID-19 symptoms such as sore throat, nausea and vomiting, dyspnea, myalgia, cough, weakness, fever, and chills.

Conclusion: Higher consumption of fruits, vegetables, and fiber was inversely linked with COVID-19 severity, clinical symptoms, hospitalization and convalescence duration, and CRP concentrations. The results should be interpreted with caution in light of the limitations, and prospective cohort studies are required to further evaluate these findings.
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Re: Carence en micronutriments et immunité face aux virus?

Messagepar Nutrimuscle-Diététique » 5 Oct 2022 16:31

Traduction de l'étude :wink:

Association de la consommation de fruits, de légumes et de fibres avec la gravité et les symptômes de la COVID-19 chez les patients hospitalisés : une étude transversale
Front de Kiana Tadbir Vajargah. Nutr., 29 septembre 2022

Contexte et objectifs : les fruits et les légumes sont riches en fibres et constituent une bonne source de vitamines, de minéraux et d'antioxydants anti-inflammatoires et stimulants du système immunitaire. Nous avons étudié l'association entre l'apport de fruits, de légumes et de fibres et la gravité du COVID-19 et des symptômes associés chez les patients hospitalisés.

Méthodes : Un total de 250 patients hospitalisés pour COVID-19 âgés de 18 à 65 ans ont été recrutés pour cette étude transversale à Kashan, en Iran, entre juin et septembre 2021. Les apports alimentaires ont été évalués à l'aide d'un questionnaire en ligne validé de fréquence alimentaire de 168 éléments. (FFQ). La gravité et les symptômes de la COVID-19 ont été évalués à l'aide des directives de traitement de la COVID-19 des National Institutes of Health (NIH). De plus, nous avons examiné les symptômes du COVID-19, les biomarqueurs inflammatoires et d'autres facteurs.

Résultats : L'âge moyen des participants était de 44,2 ± 12,1 ans, et 46 % avaient une COVID-19 sévère. Patients ayant une consommation plus élevée de fruits (OR : 0,28 ; IC à 95 % : 0,14-0,58, tendance P <0,001), de légumes (OR : 0,33 ; IC à 95 % : 0,16-0,69, tendance P <0,001) et de fibres alimentaires (OR : 0,25 ; IC à 95 % : 0,12-0,53, tendance P <0,001) avaient une probabilité plus faible d'avoir une COVID-19 grave. De plus, ils avaient des périodes d'hospitalisation et de convalescence plus courtes, une protéine C-réactive sérique (CRP) plus faible et un risque réduit de développer des symptômes de COVID-19 tels que mal de gorge, nausées et vomissements, dyspnée, myalgie, toux, faiblesse, fièvre, et des frissons.

Conclusion : Une consommation plus élevée de fruits, de légumes et de fibres était inversement liée à la gravité du COVID-19, aux symptômes cliniques, à la durée d'hospitalisation et de convalescence et aux concentrations de CRP. Les résultats doivent être interprétés avec prudence à la lumière des limites, et des études de cohorte prospectives sont nécessaires pour évaluer davantage ces résultats.
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Re: Carence en micronutriments et immunité face aux virus?

Messagepar Nutrimuscle-Conseils » 7 Oct 2022 08:08

Great escape: how infectious SARS-CoV-2 avoids inactivation by gastric acidity and intestinal bile
Malak A Esseili BMJ Gut 2022

The study by Lee et al1 showed that the short-term current use of proton pump inhibitors (PPIs) for less than 1 month was associated with severe clinical outcomes for patients with COVID-19. The authors speculated that individuals taking PPIs had increased gastric pH, leading to higher SARS-CoV-2 viral loads associated with a severe course of COVID-19.

Many studies suggested that a proportion of patients with COVID-19 experiencing GI symptoms such as diarrhoea, nausea and vomiting had overall more severe disease.2 However, it is not clearly understood how SARS-CoV-2 could survive the passage through the harsh gastric acidity and persist through the intestinal contents to infect the intestinal epithelia. It is known that the gastric pH varies greatly, depending on whether the individual is in a fasting or feeding state (between 1.23 and 6.7, respectively).3 Similarly, bile concentrations in the small intestine can fluctuate from as low as 2.6 mM in fasted state to over 15 mM in the fed state.4 Whether changes in gastric pH and bile allow the virus to escape gastric and intestinal inactivation to infect the intestine is not well understood.

Therefore, to understand the effect of stomach acidity, digestive components and meals on the infectivity of swallowed SARS-CoV-2, the virus ~6 log 50% tissue infective dose (TCID50)/mL was incubated at 37°C for 60 min in simulated gastric fluid of different pH (1.5–6.0), pepsin (0–8 mg/mL), …
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Re: Carence en micronutriments et immunité face aux virus?

Messagepar Nutrimuscle-Diététique » 7 Oct 2022 16:39

Traduction de l'étude :wink:

Grande évasion : comment le SRAS-CoV-2 infectieux évite l'inactivation par l'acidité gastrique et la bile intestinale
Malak A Esseili BMJ Gut 2022

L'étude de Lee et al1 a montré que l'utilisation actuelle à court terme d'inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) pendant moins d'un mois était associée à des résultats cliniques graves pour les patients atteints de COVID-19. Les auteurs ont émis l'hypothèse que les personnes prenant des IPP avaient un pH gastrique accru, entraînant des charges virales de SRAS-CoV-2 plus élevées associées à une évolution sévère du COVID-19.

De nombreuses études ont suggéré qu'une proportion de patients atteints de COVID-19 présentant des symptômes gastro-intestinaux tels que diarrhée, nausées et vomissements présentaient une maladie globalement plus grave. l'acidité et persistent à travers le contenu intestinal pour infecter l'épithélium intestinal. On sait que le pH gastrique varie considérablement selon que l'individu est à jeun ou s'alimente (entre 1,23 et 6,7, respectivement)
3. à plus de 15 mM à l'état nourri.4 On ne sait pas bien si les changements du pH gastrique et de la bile permettent au virus d'échapper à l'inactivation gastrique et intestinale pour infecter l'intestin.

Par conséquent, pour comprendre l'effet de l'acidité de l'estomac, des composants digestifs et des repas sur l'infectiosité du SARS-CoV-2 avalé, le virus ~6 log dose infectieuse tissulaire à 50 % (TCID50)/mL a été incubé à 37°C pendant 60 min dans liquide gastrique simulé de pH différent (1,5–6,0), pepsine (0–8 mg/mL),
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Re: Carence en micronutriments et immunité face aux virus?

Messagepar Nutrimuscle-Conseils » 10 Aoû 2024 11:08

The association between serum vitamin A concentrations and virus hepatitis among U.S. adults from the NHANES database: a cross-sectional study
Maoxia Liu Front. Nutr., 01 August 2024

Objective: According to the present study, the relationship between vitamin A (VA) levels and hepatitis virus carriage has been unclear and controversial. This study aimed to determine the potential relationship between serum VA levels and viral hepatitis and to provide ideas for future clinical treatments.

Methods: A cross-sectional study was performed using the 2005–2006 and 2017–2018 National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES) datasets. Multiple linear regression and logistic regression were adopted to analyze the association between serological hepatitis B surface antigen (HBsAg) or hepatitis C RNA (HCV-RNA) positivity and VA levels. There were 5,351 HBsAg-related responders and 242 HCV-RNA-related responders, including 52 HBsAg (+) and 104 HCV-RNA (+) responders.

Results: Compared with HBsAg (−) and HCV-RNA (−) respondents, HBsAg (+) and HCV-RNA (+) respondents tended to have lower serum VA levels, respectively [1.63 (1.33 ~ 2.01) vs. 1.92 (1.57 ~ 2.34), P < 0.001; 1.54 (1.25 ~ 1.83) vs. 1.78 (1.46 ~ 2.26), P < 0.001]. A greater percentage of responders in the subclinical VA deficiency (SVAD) group were HBsAg (+) and HCV-RNA (+) than were those in the normal VA (VAN) group [2.4% (9/374) vs. 0.9% (43/4977), p = 0.003; 61.5% (16/26) vs. 40.7% (88/215), p = 0.043]. According to the results of the multiple regression analyses of the different models, the serum VA concentration was negatively correlated with HBsAg (+) and HCV-RNA (+) status (β = −0.14, 95% CI = −0.30 to −0.01, p = 0.066; β = −0.29, 95% CI = −0.50 ~ −0.09, p = 0.005, respectively). Compared to those with SVAD, patients with VAN were less likely to be serologically HBsAg (+) or HCV-RNA (+) (OR = 0.53, 95% CI = 0.25 ~ 1.10, p = 0.089; OR = 0.39, 95% CI = 0.18 ~ 0.84, p = 0.016, respectively).

Conclusion: Our study provides evidence that patients who are HBsAg (+) or HCV-RNA (+) have a high incidence of SVAD. Moreover, HBsAg and HCV-RNA positivity are negatively correlated with VA levels, and patients with SVAD are more likely to carry HBsAg (+) or HCV-RNA (+). These findings suggest that the relationship between hepatitis viruses and vitamin A needs to be validated by more basic studies and clinical large-sample randomized controlled trials to provide ideas for new therapeutic targets.
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Re: Carence en micronutriments et immunité face aux virus?

Messagepar Nutrimuscle-Diététique » 11 Aoû 2024 16:33

Traduction de l'étude :wink:

Association entre les concentrations sériques de vitamine A et l'hépatite virale chez les adultes américains à partir de la base de données NHANES : une étude transversale
Maoxia Liu Front. Nutr., 01 août 2024

Objectif : Selon la présente étude, la relation entre les niveaux de vitamine A (VA) et le portage du virus de l'hépatite n'est pas claire et est controversée. Cette étude visait à déterminer la relation potentielle entre les niveaux sériques de VA et l'hépatite virale et à fournir des idées pour les futurs traitements cliniques.

Méthodes : Une étude transversale a été réalisée à l'aide des ensembles de données de l'enquête nationale sur la santé et la nutrition (NHANES) de 2005-2006 et 2017-2018. La régression linéaire multiple et la régression logistique ont été adoptées pour analyser l'association entre la positivité sérologique de l'antigène de surface de l'hépatite B (HBsAg) ou de l'ARN de l'hépatite C (ARN-VHC) et les niveaux de VA. FrançaisIl y avait 5 351 répondeurs liés à l'HBsAg et 242 répondeurs liés à l'ARN du VHC, dont 52 répondeurs HBsAg (+) et 104 répondeurs ARN du VHC (+).

Résultats : Comparés aux répondants HBsAg (−) et ARN du VHC (−), les répondants HBsAg (+) et ARN du VHC (+) avaient tendance à avoir des taux sériques d'AV plus faibles, respectivement [1,63 (1,33 ~ 2,01) contre 1,92 (1,57 ~ 2,34), P < 0,001 ; 1,54 (1,25 ~ 1,83) contre 1,78 (1,46 ~ 2,26), P < 0,001]. Un pourcentage plus élevé de répondeurs dans le groupe de déficit subclinique en VA (SVAD) étaient HBsAg (+) et HCV-ARN (+) que ceux du groupe VA normal (VAN) [2,4 % (9/374) contre 0,9 % (43/4977), p = 0,003 ; 61,5 % (16/26) contre 40,7 % (88/215), p = 0,043]. Selon les résultats des analyses de régression multiple des différents modèles, la concentration sérique d'AV était corrélée négativement avec le statut HBsAg (+) et HCV-ARN (+) (β = −0,14, IC à 95 % = −0,30 à −0,01, p = 0,066 ; β = −0,29, IC à 95 % = −0,50 ~ −0,09, p = 0,005, respectivement). Comparés aux patients atteints de SVAD, les patients atteints de VAN étaient moins susceptibles d'être sérologiquement porteurs d'AgHBs (+) ou d'ARN-VHC (+) (OR = 0,53, IC à 95 % = 0,25 ~ 1,10, p = 0,089 ; OR = 0,39, IC à 95 % = 0,18 ~ 0,84, p = 0,016, respectivement).

Conclusion : Notre étude fournit la preuve que les patients porteurs d'AgHBs (+) ou d'ARN-VHC (+) ont une incidence élevée de SVAD. De plus, la positivité de l'AgHBs et de l'ARN-VHC est corrélée négativement aux taux d'AV, et les patients atteints de SVAD sont plus susceptibles d'être porteurs d'AgHBs (+) ou d'ARN-VHC (+). Ces résultats suggèrent que la relation entre les virus de l’hépatite et la vitamine A doit être validée par des études plus fondamentales et des essais cliniques contrôlés randomisés à grande échelle afin de fournir des idées pour de nouvelles cibles thérapeutiques.
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Re: Carence en micronutriments et immunité face aux virus?

Messagepar Nutrimuscle-Conseils » 17 Oct 2024 09:48

Association of Vitamin D with Functional Cure in Chronic Hepatitis B: Insights from A Retrospective Cohort Study and An Intervention Study
Peipei Wang Clin Nutr 2024

Background & Aim
Functional cure for chronic hepatitis B (CHB) patients can be achieved using nucleos(t)ide analogues (NAs) and pegylated interferon alpha (Peg-IFNα) combination treatment. However, the role of vitamin D in functional cure remains unclear. We aimed to investigate the association between vitamin D levels and functional cure in CHB patients.
Methods
A retrospective study was conducted to detect changes in serum 25-hydroxyvitamin D (25(OH)D) levels in 526 CHB patients. Furthermore, an intervention study was conducted on 90 CHB patients with baseline vitamin D insufficiency, and 45 patients were randomly assigned to the control group receiving NAs/Peg-IFNα treatment, whereas the remaining patients were categorized into the vitamin D group (VD group) receiving NAs/Peg-IFNα treatment combined with vitamin D supplementation at 800 IU/day.
Results
A retrospective study revealed a progressive elevation in serum 25(OH)D levels throughout the duration of treatment. The cured group displayed significantly higher serum 25(OH)D levels than the uncured group (P = 0.046) at the end of treatment, and the changes in serum 25(OH)D (Δ25(OH)D) levels between the two groups were found to be significantly different (P < 0.0001). In the intervention study, the VD group tended to have an increased functional cure rate (48.0%) compared with the control group (34.3%) in the binary logistic regression equation analysis (P = 0.09). Notably, a linear mixed-effects model in the longitudinal analysis indicated a significant impact of serum 25(OH)D levels on treatment outcomes (P = 0.017).
Conclusions
Serum 25(OH)D and Δ25(OH)D were both positively associated with functional cure in this retrospective study, and vitamin D supplementation may be helpful for functional cure in CHB patients.
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Re: Carence en micronutriments et immunité face aux virus?

Messagepar Nutrimuscle-Diététique » 17 Oct 2024 18:25

Traduction de l'étude :wink:

Association de la vitamine D avec la guérison fonctionnelle de l'hépatite B chronique : aperçu d'une étude de cohorte rétrospective et d'une étude d'intervention
Peipei Wang Clin Nutr 2024

Contexte et objectif
La guérison fonctionnelle des patients atteints d'hépatite B chronique (HBC) peut être obtenue en utilisant des analogues nucléosidiques (NA) et un traitement combiné par interféron alpha pégylé (Peg-IFNα). Cependant, le rôle de la vitamine D dans la guérison fonctionnelle reste flou. Nous avons cherché à étudier l'association entre les taux de vitamine D et la guérison fonctionnelle chez les patients atteints d'HBC.

Méthodes
Une étude rétrospective a été menée pour détecter les changements dans les taux sériques de 25-hydroxyvitamine D (25(OH)D) chez 526 patients atteints d'HBC. De plus, une étude d'intervention a été menée sur 90 patients atteints d'hépatite B chronique présentant une insuffisance en vitamine D au départ, et 45 patients ont été assignés aléatoirement au groupe témoin recevant un traitement NAs/Peg-IFNα, tandis que les patients restants ont été classés dans le groupe vitamine D (groupe VD) recevant un traitement NAs/Peg-IFNα associé à une supplémentation en vitamine D à raison de 800 UI/jour.

Résultats
Une étude rétrospective a révélé une augmentation progressive des taux sériques de 25(OH)D tout au long de la durée du traitement. Le groupe guéri affichait des taux sériques de 25(OH)D significativement plus élevés que le groupe non guéri (P = 0,046) à la fin du traitement, et les variations des taux sériques de 25(OH)D (Δ25(OH)D) entre les deux groupes se sont avérées significativement différentes (P < 0,0001). Dans l'étude d'intervention, le groupe VD avait tendance à avoir un taux de guérison fonctionnelle plus élevé (48,0 %) par rapport au groupe témoin (34,3 %) dans l'analyse de l'équation de régression logistique binaire (P = 0,09). Notamment, un modèle linéaire à effets mixtes dans l'analyse longitudinale a indiqué un impact significatif des taux sériques de 25(OH)D sur les résultats du traitement (P = 0,017).

Conclusions
Les taux sériques de 25(OH)D et de Δ25(OH)D étaient tous deux positivement associés à la guérison fonctionnelle dans cette étude rétrospective, et la supplémentation en vitamine D peut être utile pour la guérison fonctionnelle chez les patients atteints d'HCB.
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