Plus de force et d'endurance avec la créatine Creapure®?

[Nutrimuscle-Conseils]

Effects of Creatine Supplementation during Resistance Training Sessions in Physically Active Young Adults
by Scotty Mills Nutrients 2020, 12(6), 1880;

The purpose was to examine the effects of creatine supplementation during resistance training sessions on skeletal muscle mass and exercise performance in physically active young adults. Twenty-two participants were randomized to supplement with creatine (CR: n = 13, 26 ± 4 yrs; 0.0055 g·kg−1 post training set) or placebo (PLA: n = 9, 26 ± 5 yrs; 0.0055 g·kg−1 post training set) during six weeks of resistance training (18 sets per training session; five days per week). Prior to and following training and supplementation, measurements were made for muscle thickness (elbow and knee flexors/extensors, ankle plantarflexors), power (vertical jump and medicine ball throw), strength (leg press and chest press one-repetition maximum (1-RM)) and muscular endurance (one set of repetitions to volitional fatigue using 50% baseline 1-RM for leg press and chest press).

The creatine group experienced a significant increase (p < 0.05) in leg press, chest press and total body strength and leg press endurance with no significant changes in the PLA group. Both groups improved total body endurance over time (p < 0.05), with greater gains observed in the creatine group.

In conclusion, creatine ingestion during resistance training sessions is a viable strategy for improving muscle strength and some indices of muscle endurance in physically active young adults.

[Nutrimuscle-Conseils]

On training days (five days/week), creatine and placebo were mixed with water (900 mL) and participants consumed 50 mL of the solution containing 0.0055 g·kg−1 of creatine or placebo immediately after each set of resistance training (18 sets per training day).

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

Effets de la supplémentation en créatine pendant les séances d'entraînement en résistance chez les jeunes adultes physiquement actifs
par Scotty Mills Nutrients 2020, 12 (6), 1880;

Le but était d'examiner les effets de la supplémentation en créatine pendant les séances d'entraînement en résistance sur la masse musculaire squelettique et la performance physique des jeunes adultes physiquement actifs. Vingt-deux participants ont été randomisés pour compléter avec de la créatine (CR: n = 13, 26 ± 4 ans; 0,0055 g · kg − 1 ensemble de formation post)) ou un placebo (PLA: n = 9, 26 ± 5 ans; 0,0055 g · kg −1 post-entraînement) pendant six semaines d'entraînement en résistance (18 ensembles par séance d'entraînement; cinq jours par semaine). Avant et après l'entraînement et la supplémentation, des mesures ont été effectuées pour l'épaisseur musculaire (fléchisseurs / extenseurs des coudes et des genoux, flexibles plantaires de la cheville), la puissance (saut vertical et lancer du ballon médicinal), la force (appui sur les jambes et appui sur la poitrine, une répétition maximum (1- RM)) et l'endurance musculaire (un ensemble de répétitions à la fatigue volitive en utilisant 50% de base 1-RM pour la presse pour les jambes et la poitrine).

Le groupe de créatine a connu une augmentation significative (p <0,05) de la compression des jambes, de la compression thoracique et de la force corporelle totale et de l'endurance de la compression des jambes sans changement significatif dans le groupe PLA. Les deux groupes ont amélioré l'endurance corporelle totale au fil du temps (p <0,05), avec des gains plus importants observés dans le groupe créatine.

En conclusion, l'ingestion de créatine pendant les séances d'entraînement en résistance est une stratégie viable pour améliorer la force musculaire et certains indices d'endurance musculaire chez les jeunes adultes physiquement actifs.En jours d'entraînement (cinq jours / semaine), la créatine et le placebo ont été mélangés avec de l'eau (900 ml) et les participants ont consommé 50 ml de la solution contenant 0,0055 g · kg − 1 de créatine ou de placebo immédiatement après chaque série d'entraînement en résistance (18 séries par jour d'entraînement).

[Nutrimuscle-Conseils]

Effects of Low-Dose Creatine Monohydrate on Muscle Strength and Endurance
Jose de Oliveira Vilar Neto Asian Journal of Sports Medicine: 9 (3); e62739 2018

To investigate the effect of low-dose supplementation of creatine monohydrate without the use of the saturation phase, 36 male university students engaged in resistance training (age 22.5 ± 4.3 years, height 1.76 ± 0.08 m, weight 77.0 ± 11.0 kg, and body mass index 24.6 ± 2.5 kg/m2) were randomly divided into three groups: group placebo (GP), group supplemented with creatine 3 g/day (3G), and group supplemented with 5 g/day creatine (5G). The subjects were tested for maximum muscle strength (1RM), upper body muscle endurance (MPU), and abdominal muscle endurance (MSU) before and after 7, 14, 21, 28, and 35 days of creatine supplementation or placebo and performing standardized resistance training.

After 35 days of supplementation and training, all groups showed a significant improvement in the 1RM test; however, the percentages of strength increase were significantly higher (P < 0.05) in the groups supplemented with creatine (G3, Δ% 1RM = 20.0 ± 4.0; G5, Δ% 1RM = 19.9 ± 1.5) than in the placebo group (GP, Δ% 1RM = 10.3 ± 1.9). Upper limb muscle endurance showed a significant improvement only in 5G, ranging from 39.9 ± 7.9 MPU/min to 50.7 ± 11.0 MPU/min after 35 days of supplementation. Interestingly, abdominal muscle endurance showed no increase in any of the groups (GP, P > 0.528; G3, P > 0.076; G5, P > 0.148).

These results support a number of earlier studies that demonstrated that creatine supplementation at low doses and without the use of the loading phase are effective for increasing maximal strength and endurance of upper limbs.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

Effets du monohydrate de créatine à faible dose sur la force musculaire et l'endurance
José de Oliveira Vilar Neto Asian Journal of Sports Medicine : 9 (3) ; e62739 2018

Pour étudier l'effet d'une supplémentation à faible dose de monohydrate de créatine sans l'utilisation de la phase de saturation, 36 étudiants universitaires de sexe masculin ont participé à un entraînement en résistance (âge 22,5 ± 4,3 ans, taille 1,76 ± 0,08 m, poids 77,0 ± 11,0 kg et masse corporelle index 24,6 ± 2,5 kg/m2) ont été répartis au hasard en trois groupes : groupe placebo (GP), groupe supplémenté en créatine 3 g/jour (3G) et groupe supplémenté en créatine 5 g/jour (5G). Les sujets ont été testés pour la force musculaire maximale (1RM), l'endurance des muscles du haut du corps (MPU) et l'endurance des muscles abdominaux (MSU) avant et après 7, 14, 21, 28 et 35 jours de supplémentation en créatine ou de placebo et en effectuant une résistance standardisée. entraînement.

Après 35 jours de supplémentation et d'entraînement, tous les groupes ont montré une amélioration significative au test 1RM ; cependant, les pourcentages d'augmentation de la force étaient significativement plus élevés (P < 0,05) dans les groupes supplémentés en créatine (G3, Δ% 1RM = 20,0 ± 4,0 ; G5, Δ% 1RM = 19,9 ± 1,5) que dans le groupe placebo (MG, Δ% 1RM = 10,3 ± 1,9). L'endurance musculaire des membres supérieurs a montré une amélioration significative uniquement en 5G, allant de 39,9 ± 7,9 MPU/min à 50,7 ± 11,0 MPU/min après 35 jours de supplémentation. Fait intéressant, l'endurance des muscles abdominaux n'a montré aucune augmentation dans aucun des groupes (GP, P > 0,528 ; G3, P > 0,076 ; G5, P > 0,148).

Ces résultats appuient un certain nombre d'études antérieures qui ont démontré que la supplémentation en créatine à faibles doses et sans l'utilisation de la phase de charge est efficace pour augmenter la force maximale et l'endurance des membres supérieurs.

[Nutrimuscle-Conseils]

Effects of Oral Creatine Supplementation on Power Output during Repeated Treadmill Sprinting
by Gregory C. Bogdanis Nutrients 2022, 14(6), 1140;

The aim of the present study was to examine the effects of creatine (Cr) supplementation on power output during repeated sprints on a non-motorized treadmill. Sixteen recreationally active males volunteered for this study (age 25.5 ± 4.8 y, height 179 ± 5 cm, body mass 74.8 ± 6.8 kg). All participants received placebo supplementation (75 mg of glucose·kg−1·day−1) for 5 days and then performed a baseline repeated sprints test (6 × 10 s sprints on a non-motorised treadmill). Thereafter, they were randomly assigned into a Cr (75 mg of Cr monohydrate·kg−1·day−1) or placebo supplementation, as above, and the repeated sprints test was repeated.

After Cr supplementation, body mass was increased by 0.99 ± 0.83 kg (p = 0.007), peak power output and peak running speed remained unchanged throughout the test in both groups, while the mean power output and mean running speed during the last 5 s of the sprints increased by 4.5% (p = 0.005) and 4.2% to 7.0%, respectively, during the last three sprints (p = 0.005 to 0.001). The reduction in speed within each sprint was also blunted by 16.2% (p = 0.003) following Cr supplementation. Plasma ammonia decreased by 20.1% (p = 0.037) after Cr supplementation, despite the increase in performance. VO2 and blood lactate during the repeated sprints test remained unchanged after supplementation, suggesting no alteration of aerobic or glycolytic contribution to adenosine triphosphate production.

In conclusion, Cr supplementation improved the mean power and speed in the second half of a repeated sprint running protocol, despite the increased body mass. This improvement was due to the higher power output and running speed in the last 5 s of each 10 s sprint.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

Effets de la supplémentation orale en créatine sur la puissance de sortie lors de sprints répétés sur tapis roulant
par Gregory C. Bogdanis Nutrients 2022, 14(6), 1140 ;

Le but de la présente étude était d'examiner les effets de la supplémentation en créatine (Cr) sur la puissance de sortie lors de sprints répétés sur un tapis roulant non motorisé. Seize hommes récréatifs actifs se sont portés volontaires pour cette étude (âge 25,5 ± 4,8 ans, taille 179 ± 5 cm, masse corporelle 74,8 ± 6,8 kg). Tous les participants ont reçu une supplémentation en placebo (75 mg de glucose·kg−1·jour−1) pendant 5 jours, puis ont effectué un test de sprints répétés de base (sprints de 6 × 10 s sur un tapis roulant non motorisé). Par la suite, ils ont été assignés au hasard à une supplémentation en Cr (75 mg de monohydrate de Cr.kg-1.jour-1) ou en placebo, comme ci-dessus, et le test de sprints répétés a été répété.

Après la supplémentation en Cr, la masse corporelle a augmenté de 0,99 ± 0,83 kg (p = 0,007), la puissance de sortie de pointe et la vitesse de course de pointe sont restées inchangées tout au long du test dans les deux groupes, tandis que la puissance de sortie moyenne et la vitesse de course moyenne au cours des 5 dernières s de les sprints ont augmenté de 4,5 % (p = 0,005) et de 4,2 % à 7,0 %, respectivement, au cours des trois derniers sprints (p = 0,005 à 0,001). La réduction de la vitesse dans chaque sprint a également été atténuée de 16,2 % (p = 0,003) après la supplémentation en Cr. L'ammoniac plasmatique a diminué de 20,1 % (p = 0,037) après la supplémentation en Cr, malgré l'augmentation des performances. Le VO2 et le lactate sanguin pendant le test de sprints répétés sont restés inchangés après la supplémentation, suggérant aucune altération de la contribution aérobie ou glycolytique à la production d'adénosine triphosphate.

En conclusion, la supplémentation en Cr a amélioré la puissance et la vitesse moyennes dans la seconde moitié d'un protocole de course de sprint répété, malgré l'augmentation de la masse corporelle. Cette amélioration était due à la puissance de sortie et à la vitesse de course plus élevées dans les 5 dernières s de chaque sprint de 10 s.

[Nutrimuscle-Conseils]

Creatine Supplementation for Muscle Growth: A Scoping Review of Randomized Clinical Trials from 2012 to 2021
by Shih-Hao Wu Nutrients 2022, 14(6), 1255;

Creatine supplementation is the most popular ergonomic aid for athletes in recent years and is used for improving sport performance and muscle growth. However, creatine supplementation is not always effective in all populations. To address these discrepancies, numerous studies have examined the use of creatine supplementation for muscle growth. This scoping review aimed to investigate the effects of creatine supplementation for muscle growth in various populations, in which Arksey and O’Malley’s scoping review framework is used to present the findings. For this study, we performed a systematic search of the PubMed, Embase, and Web of Science databases for theses and articles published between 2012 and 2021.

A manual search of the reference lists of the uncovered studies was conducted and an expert panel was consulted. Two reviewers screened the articles for eligibility according to the inclusion criteria. Methodological quality was assessed using the National Heart, Lung and Blood Institute’s (NHLBI’s) quality assessment tool.

A total of 16 randomized controlled trials (RCTs) were finally included. All the authors extracted key data and descriptively analyzed the data. Thematic analysis was used to categorize the results into themes. Three major themes related to muscle growth were generated: (i) subjects of creatine supplementation—muscle growth is more effective in healthy young subjects than others; (ii) training of subjects—sufficient training is important in all populations; (iii) future direction and recommendation of creatine supplementation for muscle growth—injury prevention and utilization in medical practice.

Overall, creatine is an efficient form of supplementation for muscle growth in the healthy young population with adequate training in a variety of dosage strategies and athletic activities. However, more well-designed, long-term RCTs with larger sample sizes are needed in older and muscular disease-related populations to definitively determine the effects of creatine supplementation on muscle growth in these other populations.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l"étude

Supplémentation en créatine pour la croissance musculaire : examen de la portée des essais cliniques randomisés de 2012 à 2021
par Shih-Hao Wu Nutrients 2022, 14(6), 1255 ;

La supplémentation en créatine est l'aide ergonomique la plus populaire pour les athlètes ces dernières années et est utilisée pour améliorer les performances sportives et la croissance musculaire. Cependant, la supplémentation en créatine n'est pas toujours efficace dans toutes les populations. Pour remédier à ces divergences, de nombreuses études ont examiné l'utilisation de la supplémentation en créatine pour la croissance musculaire. Cet examen de la portée visait à étudier les effets de la supplémentation en créatine pour la croissance musculaire dans diverses populations, dans lequel le cadre d'examen de la portée d'Arksey et O'Malley est utilisé pour présenter les résultats. Pour cette étude, nous avons effectué une recherche systématique dans les bases de données PubMed, Embase et Web of Science pour les thèses et articles publiés entre 2012 et 2021.

Une recherche manuelle des listes de référence des études non couvertes a été effectuée et un groupe d'experts a été consulté. Deux examinateurs ont examiné les articles pour l'éligibilité selon les critères d'inclusion. La qualité méthodologique a été évaluée à l'aide de l'outil d'évaluation de la qualité du National Heart, Lung and Blood Institute (NHLBI).

Un total de 16 essais contrôlés randomisés (ECR) ont finalement été inclus. Tous les auteurs ont extrait les données clés et analysé les données de manière descriptive. L'analyse thématique a été utilisée pour classer les résultats en thèmes. Trois grands thèmes liés à la croissance musculaire ont été générés : (i) les sujets recevant une supplémentation en créatine - la croissance musculaire est plus efficace chez les sujets jeunes en bonne santé que chez les autres ; (ii) la formation des sujets—une formation suffisante est importante dans toutes les populations ; (iii) orientation future et recommandation de la supplémentation en créatine pour la croissance musculaire - prévention des blessures et utilisation dans la pratique médicale.

Dans l'ensemble, la créatine est une forme efficace de supplémentation pour la croissance musculaire chez la population jeune en bonne santé avec un entraînement adéquat dans une variété de stratégies de dosage et d'activités sportives. Cependant, des ECR à long terme plus bien conçus avec des échantillons plus importants sont nécessaires dans les populations plus âgées et musculaires pour déterminer définitivement les effets de la supplémentation en créatine sur la croissance musculaire dans ces autres populations

[Nutrimuscle-Conseils]

Short-Term Creatine Supplementation and Repeated Sprint Ability—A Systematic Review and Meta-Analysis
in International Journal of Sport Nutrition and Exercise Metabolism 30 Aug 2022 Mark Glaister

The aim of this study was to conduct a systematic review and meta-analysis of the effects of short-term creatine supplementation on repeated sprint ability. Fourteen studies met the inclusion criteria of adopting double-blind randomized placebo-controlled designs in which participants (age: 18–60 years) completed a repeated sprint test (number of sprints: 4 < n ≤ 20; sprint duration: ≤10 s; recovery duration: ≤90 s) before and after supplementing with creatine or placebo for 3–7 days in a dose of ∼20 g/day. No exclusion restrictions were placed on the mode of exercise.

Meta-analyses were completed using random-effects models, with effects on measures of peak power output, mean power output, and fatigue (performance decline) during each repeated sprint test presented as standardized mean difference (δ), and with effects on body mass and posttest blood lactate concentration presented as raw mean difference (D). Relative to placebo, creatine resulted in a significant increase in body mass (D = 0.79 kg; p < .00001) and mean power output (δ = 0.61; p = .002). However, there was no effect of creatine on measures of peak power (δ = 0.41; p = .10), fatigue (δ = 0.08; p = .61), or posttest blood lactate concentration (D = 0.22 L/min; p = .60).

In conclusion, creatine supplementation may increase mean power output during repeated sprint tests, although the absence of corresponding effects on peak power and fatigue means that more research, with measurements of intramuscular creatine content, is necessary to confirm.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

Supplémentation en créatine à court terme et capacité de sprint répété - Une revue systématique et une méta-analyse
dans International Journal of Sport Nutrition and Exercise Metabolism 30 août 2022 Mark Glaister

Le but de cette étude était de mener une revue systématique et une méta-analyse des effets de la supplémentation en créatine à court terme sur la capacité de sprint répété. Quatorze études remplissaient les critères d'inclusion consistant à adopter des conceptions randomisées en double aveugle contrôlées par placebo dans lesquelles les participants (âge : 18 à 60 ans) effectuaient un test de sprint répété (nombre de sprints : 4 < n ≤ 20 ; durée du sprint : ≤10 s ; durée de récupération : ≤ 90 s) avant et après une supplémentation en créatine ou en placebo pendant 3 à 7 jours à une dose de ∼ 20 g/jour. Aucune restriction d'exclusion n'a été placée sur le mode d'exercice.

Des méta-analyses ont été réalisées à l'aide de modèles à effets aléatoires, avec des effets sur les mesures de la puissance de pointe, de la puissance moyenne et de la fatigue (diminution des performances) lors de chaque test de sprint répété présenté sous forme de différence moyenne standardisée (δ) et avec des effets sur la masse corporelle et la concentration de lactate sanguin post-test présentée sous forme de différence moyenne brute (D). Par rapport au placebo, la créatine a entraîné une augmentation significative de la masse corporelle (D = 0,79 kg ; p < .00001) et de la puissance moyenne (δ = 0,61 ; p = .002). Cependant, il n'y avait aucun effet de la créatine sur les mesures de puissance maximale (δ = 0,41 ; p = .10), la fatigue (δ = 0,08 ; p = .61) ou la concentration de lactate sanguin post-test (D = 0,22 L/min ; p = .60).

En conclusion, la supplémentation en créatine peut augmenter la puissance moyenne lors des tests de sprint répétés, bien que l'absence d'effets correspondants sur la puissance de pointe et la fatigue signifie que davantage de recherches, avec des mesures de la teneur en créatine intramusculaire, sont nécessaires pour confirmer

[Nutrimuscle-Conseils]

The Effect Of Creatine Supplementation On Peak Muscle Torque And Body Composition
2553
Nicholson, Michael Medicine & Science in Sports & Exercise: September 2022 - Volume 54 - Issue 9S - p 494

Purpose-To test the effect of creatine on peak muscle torque through the increase of isokinetic force and the effect on body composition.

Methods-Twenty healthy resistance-trained adults (10 = male, 10 = female, age = 28.9 ± 7.4 years, Weight = 79.2 ± 17.1 kg, Height = 172.7 ± 17.7 cm) participated in a double-blind, randomised, paired matched study (sex). Participants had completed a minimum of three resistance-based sessions per week for 12 months prior to the study. Participants committed to three resistance-based training session a week, supplementing (creatine = 5 g or placebo = 5 g dextrose) per day, attending two laboratory visits 30 days apart and to completing two, three-day food diaries before visits to the laboratory. Participants were advised to keep nutritional intake consistent. Peak muscle torque measured in newton meters (Nutrimuscle), using a Cybex II + isokinetic dynamometer. Body-composition measurements were taken upon both visits to the laboratory prior to exercise. Skinfold thicknesses right side of the body, eight sites. Body density, fat-free mass and lean mass index calculated. Post body-composition measurements, participants took part in a five-minute warm-up cycling, then performed three maximal knee extensions at angular velocities (1.04, 2.09, 3.14, 5.23 rad/s (60, 180, 270, 360 °/s), 30 seconds rest between each. Two minutes of rest between each set. Finally, participants completed the fatigue protocol (50 contractions) at angular velocity of 180°/s (3.14 rad/s).

Results-Creatine increased peak muscle torque flexion and extension (Mean creatine effect – extension = +17.20 (±16.92) Nutrimuscle, flexion = +14.69 (± 11.64) Nutrimuscle. Mean placebo effect – extension = -2.79 (±20.43) Nutrimuscle, flexion = +0.13 (±13.82) Nutrimuscle). Significantly on muscle torque (extension) at 104 rad/s (F = 18.496, P = 0.001), muscle torque (flexion) at 104 rad/s (F = 17.376, P = 0.001), muscle torque (extension) at 209 rad/s (180°/s) (F = 5.492, P = 0.036) and in muscle torque (flexion) at 5.23 rad/s (F = 0.870 P = 0.368). No significant changes in muscle fatigue (extension F = 0.245 P = 0.629, flexion F = 0.177 P = 0.681) body mass (F = 0.780 P = 0.393) or bodyfat percentage (F = 0.039 P = 0.846) between placebo and creatine groups.

Conclusion-The results reaffirm that creatine supplementation at a maintenance dosage (5 g) significantly effects peak muscle torque.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

L'effet de la supplémentation en créatine sur le couple musculaire maximal et la composition corporelle
2553
Nicholson, Michael Médecine et science dans le sport et l'exercice : septembre 2022 - Volume 54 - Numéro 9S - p 494

But-Pour tester l'effet de la créatine sur le couple musculaire maximal grâce à l'augmentation de la force isocinétique et l'effet sur la composition corporelle.

Méthodes - Vingt adultes en bonne santé entraînés à la résistance (10 = homme, 10 = femme, âge = 28,9 ± 7,4 ans, poids = 79,2 ± 17,1 kg, taille = 172,7 ± 17,7 cm) ont participé à une étude en double aveugle, randomisée et appariée (sexe). Les participants avaient complété un minimum de trois séances basées sur la résistance par semaine pendant 12 mois avant l'étude. Les participants se sont engagés à suivre trois séances d'entraînement basées sur la résistance par semaine, à compléter (créatine = 5 g ou placebo = 5 g de dextrose) par jour, à assister à deux visites de laboratoire à 30 jours d'intervalle et à remplir deux journaux alimentaires de trois jours avant les visites au laboratoire . Les participants ont été invités à maintenir un apport nutritionnel constant. Couple musculaire maximal mesuré en newtons mètres (Nutrimuscle), à ​​l'aide d'un dynamomètre isocinétique Cybex II +. Des mesures de la composition corporelle ont été prises lors des deux visites au laboratoire avant l'exercice. Épaisseurs du pli cutané côté droit du corps, huit sites. Densité corporelle, masse maigre et indice de masse maigre calculés. Après les mesures de la composition corporelle, les participants ont pris part à un cycle d'échauffement de cinq minutes, puis ont effectué trois extensions maximales du genou à des vitesses angulaires (1,04, 2,09, 3,14, 5,23 rad/s (60, 180, 270, 360 °/s ), 30 secondes de repos entre chaque série Deux minutes de repos entre chaque série Enfin, les participants ont complété le protocole de fatigue (50 contractions) à une vitesse angulaire de 180°/s (3,14 rad/s).

Résultats - La créatine a augmenté le couple musculaire maximal en flexion et en extension (Effet créatine moyen – extension = +17,20 (±16,92) Nutrimuscle, flexion = +14,69 (± 11,64) Nutrimuscle. Effet placebo moyen – extension = -2,79 (±20,43) Nutrimuscle, flexion = +0,13 (±13,82) Nutrimuscle). Significativement sur le couple musculaire (extension) à 104 rad/s (F = 18,496, P = 0,001), le couple musculaire (flexion) à 104 rad/s (F = 17,376, P = 0,001), le couple musculaire (extension) à 209 rad /s (180°/s) (F = 5,492, P = 0,036) et en couple musculaire (flexion) à 5,23 rad/s (F = 0,870 P = 0,368). Aucun changement significatif dans la fatigue musculaire (extension F = 0,245 P = 0,629, flexion F = 0,177 P = 0,681), la masse corporelle (F = 0,780 P = 0,393) ou le pourcentage de graisse corporelle (F = 0,039 P = 0,846) entre les groupes placebo et créatine.

Conclusion-Les résultats réaffirment que la supplémentation en créatine à une dose d'entretien (5 g) affecte de manière significative le couple musculaire maximal.

[Nutrimuscle-Conseils]

Effects of dry cupping therapy and creatine supplementation on inflammatory and cardiovascular responses to the Wingate test in handball players
Khadijeh Irandoust Tunis Med. 2022 Mar; 100(3): 262–269.

Aim. To evaluate the effects of dry cupping therapy (DCT) and creatine supplementation (CS) on cardiovascular and inflammatory responses to the Wingate test.

Methods. In this quasi-experimental study, 12 male handball young players were selected in a crossover design. Players were studied in four conditions: DCT; CS; CS+DCT, control. In all conditions, blood pressure, heart-rate, and body composition were measured pre- and post- Wingate test. Players were assessed by the Wingate test in two 30-second phases with a 1-minute break between the phases. Blood [lactate-dehydrogenase (LDH), creatine phosphokinase (CK)] was drawn pre- and immediately post- the Wingate test. In players with CS condition, 60 g of creatine was consumed per day in three consecutive days prior to the study (3 meals of 20 g in morning, noon, and night). The DCT was performed after Wingate test to consider its possible effects for alleviating the muscle injury markers. Data were evaluated using analysis of covariance followed by a post-hoc Bonferoni test.

Results. The heart-rate’ means in DCT, CS and CS+DCT conditions were lower compared to the control-condition (p<0.05). The CK’ means in DCT and CS+DCT conditions were lower compared to the control-condition (p<0.05). The mean systolic and diastolic blood pressure and LDH in the four conditions were similar (p>0.05).

Conclusion. DCT and CS lead to beneficial effects on cardiovascular function, including changes in heart-rate as well as blood biomarkers among handball players following the Wingate test.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

Effets de la thérapie par ventouses sèches et de la supplémentation en créatine sur les réponses inflammatoires et cardiovasculaires au test de Wingate chez les joueurs de handball
Khadijeh Irandoust Tunis Med. 2022 mars ; 100(3) : 262–269.

But. Évaluer les effets de la thérapie par ventouses sèches (DCT) et de la supplémentation en créatine (CS) sur les réponses cardiovasculaires et inflammatoires au test de Wingate.

Méthodes. Dans cette étude quasi-expérimentale, 12 jeunes joueurs masculins de handball ont été sélectionnés dans un design croisé. Les joueurs ont été étudiés dans quatre conditions : DCT ; SC ; CS+DCT, contrôle. Dans toutes les conditions, la pression artérielle, la fréquence cardiaque et la composition corporelle ont été mesurées avant et après le test de Wingate. Les joueurs ont été évalués par le test Wingate en deux phases de 30 secondes avec une pause d'une minute entre les phases. Du sang [lactate déshydrogénase (LDH), créatine phosphokinase (CK)] a été prélevé avant et immédiatement après le test de Wingate. Chez les joueurs atteints de CS, 60 g de créatine ont été consommés par jour pendant trois jours consécutifs avant l'étude (3 repas de 20 g le matin, le midi et le soir). Le DCT a été réalisé après le test de Wingate pour examiner ses effets possibles sur l'atténuation des marqueurs de lésions musculaires. Les données ont été évaluées à l'aide d'une analyse de covariance suivie d'un test de Bonferoni post-hoc.

Résultats. Les moyennes de la fréquence cardiaque dans les conditions DCT, CS et CS + DCT étaient inférieures à celles de la condition témoin (p <0, 05). Les moyennes de CK 'dans les conditions DCT et CS + DCT étaient inférieures à celles de la condition de contrôle (p <0, 05). La pression artérielle systolique et diastolique moyenne et la LDH dans les quatre conditions étaient similaires (p> 0,05).

Conclusion. Le DCT et le CS entraînent des effets bénéfiques sur la fonction cardiovasculaire, notamment des modifications de la fréquence cardiaque ainsi que des biomarqueurs sanguins chez les joueurs de handball après le test de Wingate.