Roschdy Zem sur TV5 Monde : "Les bodybuilders me fascinent"...
Modérateurs: Nutrimuscle-Conseils, Nutrimuscle-Diététique
par Gilles » 1 Oct 2014 19:16
par Gilles » 2 Oct 2014 05:21
par Gilles » 2 Oct 2014 05:30
BOX-OFFICE PARIS 14H : LE DUO MARCEAU / BRUEL PREND LA TETE DES NOUVEAUTES
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Notons enfin l’échec de BODYBUILDER, 2ème film de Roschdy Zem, avec seulement 290 entrées sur 11 copies. Son précédent film OMAR M’A TUER cumulait 1 537 entrées pour son démarrage.
par mayhem13 » 2 Oct 2014 08:00
par mayhem13 » 2 Oct 2014 08:00
par Le Docteur » 2 Oct 2014 17:02
par Gilles » 3 Oct 2014 05:32
Le Docteur a écrit:On ne sait pas dans combien de salles il était sorti non plus.
Fiche box-office de Omar m'a tuer
Sortie le 22/06/2011 sur 247 copies
Entrées 1er jour: 35 750 spectateurs
par Gilles » 3 Oct 2014 05:36
par Gilles » 3 Oct 2014 05:42
Dans la ville-préfecture du Jura, le dernier film de Roschdy Zem, (réalisa-teur d’Omar ma tuer en 2011 et acteur dans Indigènes en 2006 aux côtés de Jamel) est attendu comme jamais. Certaines séances sont même déjà annoncées comme complètes au cinéma lédonien Le Palace. La raison ? L’acteur phare de Bodybuilder n’est autre que François Yolin Gauvin, celui qui a créé la salle du physique-club à Lons. Dans les années 80, l’homme de 57 ans, originaire de La Réunion, a été champion de France de culturisme, puis, pas plus tard que l’an dernier, champion du monde dans la catégorie vétéran, et aussi deux fois vice-Monsieur Univers. Mais, c’est aujourd’hui sur grand écran que le Lédonien s’offre au grand public.
« Je ne pensais pas y arriver et réussir le pari d’être acteur », raconte le Lédonien. Et pourtant, il a comme à son habitude impressionné par son ascension, entouré d’une équipe de professionnel. Droit et humain, il enchaîne les plateaux TV, les interviews, les rencontres avec le public à tel point qu’il est difficile de l’avoir au téléphone ne serait ce que cinq petites minutes. « Là, je pars pour l’avant-première à Aix-en-Provence avant de rejoindre Paris » confie t-il entre deux coupures téléphoniques liées à son trajet en TGV.
« Les premiers retours sont positifs »
Si la pression monte avant la sortie nationale du film, prévue le mercredi 1er octobre, les premiers retours sont positifs. « J’ai bien rencontré une cinquantaine de journalistes. Ils ont tous aimé Bodybuilder, ce qui me rend confiant pour la suite ». Hier, toute l’équipe était sur Paris, aux Halles plus précisément, pour prendre le pouls. « Les Halles sont les reflets de ce qui va se passer dans le reste des salles en France ». La promotion du film a été impressionnante. Une vraie-course contre la montre. « C’est un combat perpétuel. On fait tout à la bourre. Le rythme est très soutenu ».
L’enjeu est de taille pour la production. « Il s’agit de montrer que Bodybuilder n’est pas un film sur le culturisme, mais une histoire d’amour. C’est là tout notre travail ». Le fil conducteur est en effet des retrouvailles entre un père, Vincent, interprété par le Lédonien, et un fils, Antoine, joué par Vincent Rottiers. Des retrouvailles difficiles et tendues. « On me demande de prendre sous mon aile mon fils qui a des ennuis de drogue et d’argents. J’hé-site d’abord car je suis épris de body-building. Mais j’accepte, et je com-mence à jouer mon rôle de père. Il y a des règlements de compte. Je suis bourru, mais on comprend que j’ai un coeur », détaille t-il.
par Gilles » 3 Oct 2014 05:43
par Gilles » 5 Oct 2014 05:31
Après Bodybuilder, les envies de Yolin François Gauvin
Quels sont les projets du "Bodybuilder" de Roschdy Zem ? Au micro d'AlloCiné, Yolin François Gauvin se confie sur cette toute première expérience de tournage et ses envies pour la suite de cette nouvelle carrière.
AlloCiné : Au moment de présenter Bodybuilder au public du Festival du film francophone d'Angoulême, vous avez affirmé que le cinéma était devenu une drogue pour vous, que vous ressentiez un manque...
Yolin François Gauvin : Oui, c’est une addiction. Je suis addict au bodybuilding, mais maintenant la carrière elle est finie, mais je continuerai toujours à m’entrainer. Mais je me suis aperçu que le cinéma était quelque chose de terrifiant quand le film est fini.
Pendant le tournage, on est vraiment comme un coq en pâte. Tout le monde s’occupe de vous. Il y a l’adrénaline, c’est un peu comme le sport. Il y a tout pour qu’on se sente bien, et une super équipe. Tout le monde m’a enrichi.
Mais le film fini, Roschdy Zem m’avait dit, c’est vraiment une petite mort. Après le film, on a l’impression d’avoir rêvé. La coupure est tellement nette. Ca été une petite dépression pendant pratiquement un mois, où je n’avais plus envie de rien. J’ai vu que j’étais vraiment accro. J’avais envie de recommencer un autre film tout de suite derrière pour ne pas avoir ce vide. Si on a une passion, ça nous permet de vivre, ça nous permet d’avancer dans la vie.
Envisagez-vous de faire d’autres films ?
Ce serait mon rêve. Après, tout dépendra de l’opportunité. Normalement, je dois rentrer chez moi à La Réunion au mois d’octobre. Je recommencerai du coaching, des choses comme ça. Mais c’est vrai que le cinéma m’intéresse plus. Pas dans des rôles de musclés ! Je ne veux pas me cantonner là-dedans, même si j’aime ce sport. J’ai envie de faire autre chose. J’ai vraiment envie de me dire que je suis capable de tourner un autre film, un film policier… C’est de ça dont j’ai envie, c’est le challenge que j’ai. Tout dépendra de l’offre et de la demande. Dans tous les cas, j’espère.
Propos recueillis au Festival du film francophone d'Angoulême, en août 2014
par NICO-71 » 9 Oct 2014 10:47
par Gilles » 9 Oct 2014 16:15
par Gilles » 15 Oct 2014 05:41
par popey » 15 Oct 2014 20:34