Le point sur la vitamine C et virus

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Low level of Vitamin C and dysregulation of Vitamin C transporter might be involved in the severity of COVID-19 Infection
Gregory Patterson Aging and disease 2020

The Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2) has been spreading around the world at an exponential pace, leading to millions of individuals developing the associated disease called COVID-19. Due to the novel nature and the lack of immunity within humans, there has been a collective global effort to find effective treatments against the virus. This has led the scientific community to repurpose Food and Drug Administration (FDA) approved drugs with known safety profiles.

Of the many possible drugs, vitamin C has been on the shortlist of possible interventions due to its beneficial role as an immune booster and inherent antioxidant properties. Within this manuscript, a detailed discussion regarding the intracellular function and inherent properties of vitamin C is conducted. It also provides a comprehensive review of published research pertaining to the differences in expression of the vitamin C transporter under several pathophysiologic conditions. Finally, we review recently published research investigating the efficacy of vitamin C administration in treating viral infection and life-threatening conditions. Overall, this manuscript aims to present existing information regarding the extent to which vitamin C can be an effective treatment for COVID-19 and possible explanations as to why it may work in some individuals but not in others.

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Traduction de l'étude

Un faible niveau de vitamine C et une dérégulation du transporteur de la vitamine C pourraient être impliqués dans la gravité de l'infection au COVID-19
Gregory Patterson Vieillissement et maladie 2020

Le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) s'est propagé dans le monde entier à un rythme exponentiel, conduisant des millions de personnes à développer la maladie associée appelée COVID-19. En raison de la nature nouvelle et du manque d'immunité chez les humains, il y a eu un effort collectif mondial pour trouver des traitements efficaces contre le virus. Cela a conduit la communauté scientifique à réutiliser les médicaments approuvés par la Food and Drug Administration (FDA) avec des profils de sécurité connus.

Parmi les nombreux médicaments possibles, la vitamine C a été sur la liste restreinte des interventions possibles en raison de son rôle bénéfique en tant que stimulant immunitaire et de ses propriétés antioxydantes inhérentes. Dans ce manuscrit, une discussion détaillée concernant la fonction intracellulaire et les propriétés inhérentes de la vitamine C est menée. Il fournit également un examen complet de la recherche publiée concernant les différences d'expression du transporteur de la vitamine C dans plusieurs conditions physiopathologiques. Enfin, nous passons en revue les recherches récemment publiées sur l'efficacité de l'administration de vitamine C dans le traitement des infections virales et des conditions potentiellement mortelles. Dans l'ensemble, ce manuscrit vise à présenter les informations existantes sur la mesure dans laquelle la vitamine C peut être un traitement efficace contre le COVID-19 et les explications possibles sur les raisons pour lesquelles elle peut fonctionner chez certaines personnes mais pas chez d'autres.

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The Emerging Role of Vitamin C in the Prevention and Treatment of COVID-19
by Anitra C. Carr Nutrients 2020, 12(11), 3286;

Investigation into the role of vitamin C in the prevention and treatment of pneumonia and sepsis has been underway for many decades. This research has laid a strong foundation for translation of these findings into patients with severe coronavirus disease (COVID-19). Research has indicated that patients with pneumonia and sepsis have low vitamin C status and elevated oxidative stress.

Administration of vitamin C to patients with pneumonia can decrease the severity and duration of the disease. Critically ill patients with sepsis require intravenous administration of gram amounts of the vitamin to normalize plasma levels, an intervention that some studies suggest reduces mortality. The vitamin has pleiotropic physiological functions, many of which are relevant to COVID-19. These include its antioxidant, anti-inflammatory, antithrombotic and immuno-modulatory functions. Preliminary observational studies indicate low vitamin C status in critically ill patients with COVID-19. There are currently a number of randomized controlled trials (RCTs) registered globally that are assessing intravenous vitamin C monotherapy in patients with COVID-19. Since hypovitaminosis C and deficiency are common in low–middle-income settings, and many of the risk factors for vitamin C deficiency overlap with COVID-19 risk factors, it is possible that trials carried out in populations with chronic hypovitaminosis C may show greater efficacy. This is particularly relevant for the global research effort since COVID-19 is disproportionately affecting low–middle-income countries and low-income groups globally. One small trial from China has finished early and the findings are currently under peer review. There was significantly decreased mortality in the more severely ill patients who received vitamin C intervention. The upcoming findings from the larger RCTs currently underway will provide more definitive evidence. Optimization of the intervention protocols in future trials, e.g., earlier and sustained administration, is warranted to potentially improve its efficacy.

Due to the excellent safety profile, low cost, and potential for rapid upscaling of production, administration of vitamin C to patients with hypovitaminosis C and severe respiratory infections, e.g., COVID-19, appears warranted.

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Traduction de l'étude

Le rôle émergent de la vitamine C dans la prévention et le traitement du COVID-19
par Anitra C. Carr Nutrients 2020, 12 (11), 3286;

Une enquête sur le rôle de la vitamine C dans la prévention et le traitement de la pneumonie et de la septicémie est en cours depuis de nombreuses décennies. Cette recherche a jeté une base solide pour la traduction de ces résultats chez les patients atteints d'une maladie grave à coronavirus (COVID-19). La recherche a indiqué que les patients atteints de pneumonie et de septicémie ont un faible statut en vitamine C et un stress oxydatif élevé.

L'administration de vitamine C à des patients atteints de pneumonie peut diminuer la gravité et la durée de la maladie. Les patients gravement malades atteints de septicémie nécessitent une administration intraveineuse de grammes de vitamine pour normaliser les taux plasmatiques, une intervention qui, selon certaines études, réduit la mortalité. La vitamine a des fonctions physiologiques pléiotropes, dont beaucoup sont pertinentes pour le COVID-19. Il s'agit notamment de ses fonctions antioxydantes, anti-inflammatoires, antithrombotiques et immuno-modulatrices. Des études observationnelles préliminaires indiquent un faible statut en vitamine C chez les patients gravement malades atteints de COVID-19. Il existe actuellement un certain nombre d'essais contrôlés randomisés (ECR) enregistrés dans le monde qui évaluent la monothérapie intraveineuse de vitamine C chez des patients atteints de COVID-19. Étant donné que l'hypovitaminose C et la carence sont courantes dans les milieux à revenu faible et intermédiaire, et que de nombreux facteurs de risque de carence en vitamine C chevauchent les facteurs de risque de COVID-19, il est possible que les essais menés dans des populations souffrant d'hypovitaminose C chronique puissent montrer une plus grande efficacité . Ceci est particulièrement pertinent pour l'effort de recherche mondial puisque le COVID-19 affecte de manière disproportionnée les pays à revenu faible et intermédiaire et les groupes à faible revenu dans le monde. Un petit essai en Chine s'est terminé tôt et les résultats sont actuellement en cours d'examen par les pairs. Il y avait une diminution significative de la mortalité chez les patients les plus gravement malades qui ont reçu une intervention de vitamine C. Les résultats à venir des plus grands ECR actuellement en cours fourniront des preuves plus définitives. L'optimisation des protocoles d'intervention dans les essais futurs, par exemple, une administration précoce et prolongée, est justifiée pour potentiellement améliorer son efficacité.

En raison de l'excellent profil d'innocuité, du faible coût et du potentiel d'augmentation rapide de la production, l'administration de vitamine C à des patients souffrant d'hypovitaminose C et d'infections respiratoires sévères, par exemple COVID-19, semble justifiée.

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C'est l'argument le plus massue que tu pourras trouver en faveur de la prise de vitamines C et D + zinc... Plus solide qu'une Cochrane review ... L'OMS est contre et dit qu'il ne faut pas en prendre...

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Traduction de l'étude

Le rôle émergent de la vitamine C dans la prévention et le traitement du COVID-19
par Anitra C. Carr Nutrients 2020, 12 (11), 3286;

Une enquête sur le rôle de la vitamine C dans la prévention et le traitement de la pneumonie et de la septicémie est en cours depuis de nombreuses décennies. Cette recherche a jeté une base solide pour la traduction de ces résultats chez les patients atteints d'une maladie grave à coronavirus (COVID-19). La recherche a indiqué que les patients atteints de pneumonie et de septicémie ont un faible statut en vitamine C et un stress oxydatif élevé.

L'administration de vitamine C à des patients atteints de pneumonie peut diminuer la gravité et la durée de la maladie. Les patients gravement malades atteints de septicémie nécessitent une administration intraveineuse de grammes de vitamine pour normaliser les taux plasmatiques, une intervention qui, selon certaines études, réduit la mortalité. La vitamine a des fonctions physiologiques pléiotropes, dont beaucoup sont pertinentes pour le COVID-19. Il s'agit notamment de ses fonctions antioxydantes, anti-inflammatoires, antithrombotiques et immuno-modulatrices. Des études observationnelles préliminaires indiquent un faible statut en vitamine C chez les patients gravement malades atteints de COVID-19. Il existe actuellement un certain nombre d'essais contrôlés randomisés (ECR) enregistrés dans le monde qui évaluent la monothérapie intraveineuse de vitamine C chez des patients atteints de COVID-19. Étant donné que l'hypovitaminose C et la carence sont courantes dans les milieux à revenu faible et intermédiaire, et que de nombreux facteurs de risque de carence en vitamine C chevauchent les facteurs de risque de COVID-19, il est possible que les essais menés dans des populations souffrant d'hypovitaminose C chronique puissent montrer une plus grande efficacité . Cela est particulièrement pertinent pour l'effort de recherche mondial puisque le COVID-19 affecte de manière disproportionnée les pays à revenu faible et intermédiaire et les groupes à faible revenu dans le monde. Un petit essai en Chine s'est terminé tôt et les résultats sont actuellement en cours d'examen par les pairs. Il y avait une diminution significative de la mortalité chez les patients les plus gravement malades qui ont reçu une intervention de vitamine C. Les résultats à venir des plus grands ECR actuellement en cours fourniront des preuves plus définitives. L'optimisation des protocoles d'intervention dans les essais futurs, par exemple, une administration précoce et prolongée, est justifiée pour potentiellement améliorer son efficacité.

En raison de l'excellent profil d'innocuité, du faible coût et du potentiel d'augmentation rapide de la production, l'administration de vitamine C à des patients souffrant d'hypovitaminose C et d'infections respiratoires sévères, par exemple COVID-19, semble justifiée.

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Vitamin C—An Adjunctive Therapy for Respiratory Infection, Sepsis and COVID-19
by Patrick Holford Nutrients 2020, 12(12), 3760;

There are limited proven therapies for COVID-19. Vitamin C’s antioxidant, anti-inflammatory and immunomodulating effects make it a potential therapeutic candidate, both for the prevention and amelioration of COVID-19 infection, and as an adjunctive therapy in the critical care of COVID-19. This literature review focuses on vitamin C deficiency in respiratory infections, including COVID-19, and the mechanisms of action in infectious disease, including support of the stress response, its role in preventing and treating colds and pneumonia, and its role in treating sepsis and COVID-19.

The evidence to date indicates that oral vitamin C (2–8 g/day) may reduce the incidence and duration of respiratory infections and intravenous vitamin C (6–24 g/day) has been shown to reduce mortality, intensive care unit (ICU) and hospital stays, and time on mechanical ventilation for severe respiratory infections. Further trials are urgently warranted. Given the favourable safety profile and low cost of vitamin C, and the frequency of vitamin C deficiency in respiratory infections, it may be worthwhile testing patients’ vitamin C status and treating them accordingly with intravenous administration within ICUs and oral administration in hospitalised persons with COVID-19.

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High-dose vitamin C infusion for the treatment of critically ill COVID-19.
Res. Square 2020. Zhang, J

Background: No specic medication has been proven effective for the treatment of patients with severe
coronavirus disease 2019 (COVID-19). Here, we tested whether high-dose vitamin C infusion was effective
for severe COVID-19.

Methods: This randomized, controlled, clinical trial was performed at 3 hospitals in Hubei, China. Patients
with conrmed severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) infection in the ICU were
randomly assigned in as 1:1 ratio to either the high-dose intravenous vitamin C (HDIVC) or the placebo.
HDIVC group received 12 g of vitamin C/50 ml every 12 hours for 7 days at a rate of 12 ml/hour, and the
placebo group received bacteriostatic water for injection in the same way. The primary outcome was
invasive mechanical ventilation-free days in 28 days(IMVFD28). Secondary outcomes were 28-day
mortality, organ failure, and inammation progression.

Results: Only fifty-six critical COVID-19 patients were ultimately recruited due to the early control of the
outbreak. There was no difference in IMVFD28 between two groups. During the 7-day treatment period,
patients in the HDIVC group had a steady rise in the PaO2
/FiO2 (day 7: 229 vs. 151 mmHg, 95% CI 33 to
122, P=0.01). Patients with SOFA scores ≥3 in the HDIVC group exhibited a trend of reduction in 28-day
mortality (P=0.06) in univariate survival analysis. IL-6 in the HDIVC) group was lower than that in the
placebo group (19.42 vs. 158.00; 95% CI -301.72 to -29.79; P=0.04) on day 7.

Conclusion: This pilot trial showed that HDIVC might show a potential signal of benet for critically ill
patients with COVID-19, improving oxygenation even though it failed to improve IMVFD28.

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Traduction de l'étude

Vitamine C - Un traitement d'appoint pour les infections respiratoires, la septicémie et le COVID-19
par Patrick Holford Nutrients 2020, 12 (12), 3760;

Il existe des thérapies éprouvées limitées pour le COVID-19. Les effets antioxydants, anti-inflammatoires et immunomodulateurs de la vitamine C en font un candidat thérapeutique potentiel, à la fois pour la prévention et l’amélioration de l’infection par le COVID-19 et comme traitement d'appoint dans les soins intensifs du COVID-19. Cette revue de la littérature se concentre sur la carence en vitamine C dans les infections respiratoires, y compris le COVID-19, et les mécanismes d'action dans les maladies infectieuses, y compris le soutien de la réponse au stress, son rôle dans la prévention et le traitement du rhume et de la pneumonie, et son rôle dans le traitement de la septicémie et COVID-19 [FEMININE.

Les preuves à ce jour indiquent que la vitamine C par voie orale (2 à 8 g / jour) peut réduire l'incidence et la durée des infections respiratoires et que la vitamine C intraveineuse (6 à 24 g / jour) réduit la mortalité, unité de soins intensifs (USI ) et les séjours à l'hôpital, et le temps de ventilation mécanique pour les infections respiratoires sévères. D'autres procès sont nécessaires de toute urgence. Compte tenu du profil d'innocuité favorable et du faible coût de la vitamine C, et de la fréquence des carences en vitamine C dans les infections respiratoires, il peut être utile de tester le statut en vitamine C des patients et de les traiter en conséquence avec une administration intraveineuse dans les USI et une administration orale chez les personnes hospitalisées atteintes de COVID. -19.

Infusion de vitamine C à haute dose pour le traitement du COVID-19 gravement malade.
Res. Carré 2020. Zhang, J

Contexte: Aucun médicament spécifique ne s'est avéré efficace pour le traitement des patients atteints de
maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Ici, nous avons testé si la perfusion de vitamine C à haute dose était efficace
pour COVID-19 sévère.

Méthodes: Cet essai clinique randomisé et contrôlé a été réalisé dans 3 hôpitaux du Hubei, en Chine. Les patients
infectés par le coronavirus 2 (SRAS-CoV-2) du syndrome respiratoire aigu sévère confirmé en réanimation étaient
assignés au hasard dans un rapport de 1: 1 à la vitamine C intraveineuse à haute dose (HDIVC) ou au placebo.
Le groupe HDIVC a reçu 12 g de vitamine C / 50 ml toutes les 12 heures pendant 7 jours à un débit de 12 ml / heure, et le
le groupe placebo a reçu de l'eau bactériostatique pour injection de la même manière. Le résultat principal était
jours sans ventilation mécanique invasive en 28 jours (IMVFD28). Les critères de jugement secondaires étaient de 28 jours
mortalité, défaillance d'organe et progression de l'inammation.

Résultats: Seuls cinquante-six patients critiques du COVID-19 ont finalement été recrutés en raison du contrôle précoce du
épidémie. Il n'y avait aucune différence dans IMVFD28 entre deux groupes. Pendant la période de traitement de 7 jours,
les patients du groupe HDIVC avaient une augmentation régulière de la PaO2
/ FiO2 (jour 7: 229 vs 151 mmHg, IC à 95% 33 à
122, P = 0,01). Les patients avec des scores SOFA ≥3 dans le groupe HDIVC ont présenté une tendance à la réduction
mortalité (P = 0,06) dans une analyse de survie univariée. IL-6 dans le groupe HDIVC) était inférieure à celle du
groupe placebo (19,42 vs 158,00; IC à 95% -301,72 à -29,79; P = 0,04) au jour 7.

Conclusion: Cet essai pilote a montré que l'HDIVC pourrait montrer un signal potentiel de benet pour les malades gravement malades
patients atteints de COVID-19, améliorant l'oxygénation même si elle n'a pas réussi à améliorer IMVFD28.

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Feasibility of Vitamin C in the Treatment of Post Viral Fatigue with Focus on Long COVID, Based on a Systematic Review of IV Vitamin C on Fatigue
by Claudia Vollbracht Nutrients 2021, 13(4), 1154;

Fatigue is common not only in cancer patients but also after viral and other infections. Effective treatment options are still very rare. Therefore, the present knowledge on the pathophysiology of fatigue and the potential positive impact of treatment with vitamin C is illustrated. Additionally, the effectiveness of high-dose IV vitamin C in fatigue resulting from various diseases was assessed by a systematic literature review in order to assess the feasibility of vitamin C in post-viral, especially in long COVID, fatigue.

Nine clinical studies with 720 participants were identified. Three of the four controlled trials observed a significant decrease in fatigue scores in the vitamin C group compared to the control group. Four of the five observational or before-and-after studies observed a significant reduction in pre–post levels of fatigue.

Attendant symptoms of fatigue such as sleep disturbances, lack of concentration, depression, and pain were also frequently alleviated. Oxidative stress, inflammation, and circulatory disorders, which are important contributors to fatigue, are also discussed in long COVID fatigue. Thus, the antioxidant, anti-inflammatory, endothelial-restoring, and immunomodulatory effects of high-dose IV vitamin C might be a suitable treatment option.

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Traduction de l'étude

Faisabilité de la vitamine C dans le traitement de la fatigue post-virale en mettant l'accent sur le COVID long, sur la base d'un examen systématique de la vitamine C IV sur la fatigue
par Claudia Vollbracht Nutrients 2021, 13 (4), 1154;

La fatigue est courante non seulement chez les patients cancéreux, mais également après des infections virales et autres. Les options de traitement efficaces sont encore très rares. Par conséquent, les connaissances actuelles sur la physiopathologie de la fatigue et l'impact positif potentiel du traitement à la vitamine C sont illustrées. De plus, l'efficacité de la vitamine C IV à haute dose dans la fatigue résultant de diverses maladies a été évaluée par une revue systématique de la littérature afin d'évaluer la faisabilité de la vitamine C dans la fatigue post-virale, en particulier dans le COVID long.

Neuf études cliniques avec 720 participants ont été identifiées. Trois des quatre essais contrôlés ont observé une diminution significative des scores de fatigue dans le groupe vitamine C par rapport au groupe témoin. Quatre des cinq études observationnelles ou avant-après ont observé une réduction significative des niveaux de fatigue avant et après.

Les symptômes de fatigue tels que les troubles du sommeil, le manque de concentration, la dépression et la douleur étaient également fréquemment atténués. Le stress oxydatif, l'inflammation et les troubles circulatoires, qui sont des facteurs importants de fatigue, sont également abordés dans la longue fatigue COVID. Ainsi, les effets antioxydants, anti-inflammatoires, de restauration endothéliale et immunomodulateurs de la vitamine C IV à forte dose pourraient être une option de traitement appropriée.