Plus d'antioxidants = diminution du risque de mortalité?

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Traduction de l'étude

Rôle de modification des antioxydants alimentaires dans l'association entre une consommation élevée de viande rouge et le risque de cancer du poumon : données probantes issues d'un essai de dépistage du cancer
par Jiaqi Yang Antioxidants 2024, 13(7), 799 ;

Les preuves de l'association entre la consommation de viande rouge et le risque de cancer du poumon sont faibles. Cette étude a examiné les associations entre la viande rouge et le cancer du poumon en fonction des niveaux d'apport en antioxydants provenant des aliments ou des suppléments. Des modèles de risque proportionnel de Cox ont été appliqués pour évaluer les rapports de risque (HR) pour l'incidence du cancer du poumon dans l'essai de dépistage du cancer de la prostate, du poumon, colorectal et de l'ovaire (PLCO). Des questionnaires de fréquence alimentaire de base ont mesuré la consommation de viande rouge et d'antioxydants. L'indice composite d'antioxydants alimentaires (fCDAI) a évalué l'apport naturel global en vitamine A, vitamine C, vitamine E, zinc, magnésium et sélénium.

Au cours des 13 années de suivi, 95 647 participants ont développé 1 599 cas de cancer du poumon. Une consommation plus élevée de viande rouge était associée à un risque plus élevé de cancer du poumon (HRQ4vsQ1 1,43, IC à 95 % 1,20–1,71, tendance p < 0,001). Nous avons observé des tendances similaires dans les groupes ayant des niveaux faibles ou moyens d'apport en antioxydants. Cependant, aucune association n'a été observée dans le groupe ayant le fCDAI le plus élevé (HRQ4vsQ1 1,24, IC à 95 % 0,90–1,72, tendance p = 0,08) et l'apport en antioxydants naturels indépendants le plus élevé.

Le risque atténué n'a pas été systématiquement observé dans les groupes ayant une consommation élevée de suppléments. Enfin, nous n'avons pas remarqué de preuves d'interactions entre la viande rouge et l'apport en antioxydants. Nos résultats soulignent l'importance de limiter la viande rouge dans la prévention du cancer du poumon.

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Association between Dietary total antioxidant capacity and knee osteoarthritis: a case-control study in the Iranian Population
Farshad Amirkhizi, BMC Musculoskeletal Disorders volume 25, Article number: 550 (2024)

Aim
Knee osteoarthritis (KOA) is a prevalent chronic condition associated with significant pain, disability, and healthcare costs, particularly among the elderly population. Despite the considerable burden of KOA, effective treatment options for managing the condition’s underlying causes remain limited. This case-control study aims to investigate the relationship between dietary total antioxidant capacity (DTAC) and knee osteoarthritis.

Methods
This case-control study was conducted on 105 patients with confirmed KOA and 210 controls. KOA was diagnosed based on the American College of Rheumatology criteria. Dietary total antioxidant capacity (DTAC) was calculated based on the ferric-reducing antioxidant power method.

Results
The mean age and BMI of the participants were 53.6 ± 8.8 years old and 27.3 ± 2.7 kg/m2, respectively. The study participant’s DTAC score ranged from 3.56 to 25.32 with a mean and SD of 12.46 ± 5.12. In the crude model, individuals in the highest quartile of DTAC score had 71% lower odds of having knee osteoarthritis compared to those in the first quartile (OR: 0.29, 95%CI: 0.15 to 0.58, P-trend < 0.001). These associations remained significant after adjustment for potential confounders including age, sex, energy intake, family history of osteoarthritis, vitamin D and calcium use, physical activity level, cigarette smoking and BMI. Although the odds of having knee osteoarthritis decreased with increasing quartiles of DTAC in both sexes, this relationship was stronger among males than females.

Conclusion
The results of this study showed that there was an inverse correlation between DTAC and KOA among the Iranian patients with KOA.

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Traduction de l'étude

Association entre la capacité antioxydante totale alimentaire et l'arthrose du genou : une étude cas-témoins dans la population iranienne
Farshad Amirkhizi, BMC Musculoskeletal Disorders volume 25, Numéro d'article : 550 (2024)

Objectif
L'arthrose du genou (AGO) est une maladie chronique répandue associée à des douleurs, une invalidité et des coûts de santé importants, en particulier chez les personnes âgées. Malgré le fardeau considérable de l'AGO, les options de traitement efficaces pour gérer les causes sous-jacentes de la maladie restent limitées. Cette étude cas-témoins vise à étudier la relation entre la capacité antioxydante totale alimentaire (DTAC) et l'arthrose du genou.

Méthodes
Cette étude cas-témoins a été menée sur 105 patients atteints d'AGO confirmée et 210 témoins. L'AGO a été diagnostiquée sur la base des critères de l'American College of Rheumatology. La capacité antioxydante totale alimentaire (DTAC) a été calculée sur la base de la méthode du pouvoir antioxydant réducteur ferrique.

Résultats
L’âge moyen et l’IMC des participants étaient respectivement de 53,6 ± 8,8 ans et de 27,3 ± 2,7 kg/m2. Le score DTAC des participants à l’étude variait de 3,56 à 25,32 avec une moyenne et un écart-type de 12,46 ± 5,12. Dans le modèle brut, les individus du quartile le plus élevé du score DTAC avaient 71 % moins de chances de souffrir d’arthrose du genou que ceux du premier quartile (RC : 0,29, IC à 95 % : 0,15 à 0,58, tendance P < 0,001). Ces associations sont restées significatives après ajustement pour les facteurs de confusion potentiels, notamment l’âge, le sexe, l’apport énergétique, les antécédents familiaux d’arthrose, l’utilisation de vitamine D et de calcium, le niveau d’activité physique, le tabagisme et l’IMC. Bien que les risques de souffrir d'arthrose du genou diminuent avec l'augmentation des quartiles de DTAC chez les deux sexes, cette relation était plus forte chez les hommes que chez les femmes.

Conclusion
Les résultats de cette étude ont montré qu'il existait une corrélation inverse entre DTAC et KOA chez les patients iraniens atteints de KOA.

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Dietary total antioxidant capacity and risk of stroke: a systematic review and dose–response meta-analysis of observational studies
Yiqian Huang Front. Nutr., 19 September 2024

Background: Previous studies have reported the association between dietary total antioxidant capacity (TAC) and risk of stroke, but these findings have been inconsistent. We therefore performed this systematic review and dose–response meta-analysis of observational studies to evaluate the association between dietary TAC and risk of stroke.

Methods: A systematic literature search was carried out through PubMed, ISI Web of Science, EBSCO, Scopus and China National Knowledge Infrastructure (CNKI) databases, to find the relevant articles published up to 31 May, 2024. Random-effects or fixed-effects models were used to pool the relative risks (RRs) and their 95% confidence intervals (CIs) where appropriate. Heterogeneity across studies were determined using the Cochran’s Q test and I-square (I2) statistics.

Results: Eight observational studies (six cohort and two case–control studies) were included in the final analysis. The pooled results showed that higher intake of dietary TAC was associated with a lower risk of stroke (RR = 0.88; 95%CI: 0.81–0.95, p = 0.002). Additionally, dose–response analysis of cohort studies demonstrated a linear association between dietary TAC intake and risk of stroke (RR = 0.994; 95%CI: 0.990–0.999, Pnon-linearity = 0.329, Pdose–response = 0.014). Subgroup analyses showed the inverse association between dietary TAC intake and risk of stroke in the studies with mean age < 50 (RR = 0.82, 95%CI: 0.67–0.99, p = 0.044), and there was no evidence of heterogeneity (p = 0.360; I2 = 0.0%).

Conclusion: Our findings indicated that higher intake of dietary TAC was inversely associated with the risk of stroke. Future studies in particular of longitudinal design are needed to confirm this inverse relationship.

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Traduction de l'étude

Capacité antioxydante totale alimentaire et risque d'accident vasculaire cérébral : revue systématique et méta-analyse dose-réponse d'études observationnelles
Yiqian Huang Front. Nutr., 19 septembre 2024

Contexte : Des études antérieures ont rapporté l'association entre la capacité antioxydante totale alimentaire (TAC) et le risque d'accident vasculaire cérébral, mais ces résultats n'ont pas été cohérents. Nous avons donc effectué cette revue systématique et cette méta-analyse dose-réponse d'études observationnelles pour évaluer l'association entre la TAC alimentaire et le risque d'accident vasculaire cérébral.

Méthodes : Une recherche systématique de la littérature a été effectuée dans les bases de données PubMed, ISI Web of Science, EBSCO, Scopus et China National Knowledge Infrastructure (CNKI), pour trouver les articles pertinents publiés jusqu'au 31 mai 2024. Des modèles à effets aléatoires ou à effets fixes ont été utilisés pour regrouper les risques relatifs (RR) et leurs intervalles de confiance (IC) à 95 %, le cas échéant. L'hétérogénéité entre les études a été déterminée à l'aide du test Q de Cochran et des statistiques I-carré (I2).

Résultats : Huit études observationnelles (six études de cohorte et deux études cas-témoins) ont été incluses dans l'analyse finale. Les résultats regroupés ont montré qu'un apport plus élevé en TAC alimentaire était associé à un risque plus faible d'accident vasculaire cérébral (RR = 0,88 ; IC à 95 % : 0,81-0,95, p = 0,002). De plus, l'analyse dose-réponse des études de cohorte a démontré une association linéaire entre l'apport en TAC alimentaire et le risque d'accident vasculaire cérébral (RR = 0,994 ; IC à 95 % : 0,990-0,999, Pnon-linéarité = 0,329, Pdose-réponse = 0,014). Les analyses de sous-groupes ont montré une association inverse entre la consommation de TAC alimentaire et le risque d'accident vasculaire cérébral dans les études dont l'âge moyen était inférieur à 50 ans (RR = 0,82, IC à 95 % : 0,67-0,99, p = 0,044), et il n'y avait aucune preuve d'hétérogénéité (p = 0,360 ; I2 = 0,0 %).

Conclusion : Nos résultats ont indiqué qu'une consommation plus élevée de TAC alimentaire était inversement associée au risque d'accident vasculaire cérébral. De futures études, en particulier de conception longitudinale, sont nécessaires pour confirmer cette relation inverse.

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Optimal lifestyle patterns for delaying ageing and reducing all-cause mortality: insights from the UK Biobank
Ce Liu European Review of Aging and Physical Activity 05 October 2024

With the rapid aging of the global population, identifying lifestyle patterns that effectively delay aging and reduce mortality risk is of paramount importance. This study utilizes the UK Biobank to analyze the associations of the Dietary Inflammatory Index, physical activity, and sleep on biological aging and all-cause mortality.

Methods
A prospective cohort study was conducted using data from over half a million UK Biobank participants. Two datasets were created by subjective and objective measurements of physical activity: the Subjective Physical Activity (SPA) and Objective Physical Activity (OPA) datasets. Lifestyle patterns, including diet habits, exercise levels, and sleep quality, were assessed within these datasets. Biological aging was quantified using validated methods, including Homeostatic Dysregulation, Klemera-Doubal Method Biological Age, Phenotypic Age, and Telomere Length. All-cause mortality data were obtained from the National Health Service. Statistical analyses included weighted linear regression and Cox proportional hazard models, adjusted for a range of covariates.

Results
The findings indicate that, in most cases, maintaining an anti-inflammatory diet, engaging in at least moderate physical activity, and ensuring healthy sleep conditions are associated with delayed physiological aging (Cohen’s d ranging from 0.274 to 0.633) and significantly reduced risk of all-cause mortality (HR-SPA: 0.690, 95% CI: 0.538, 0.884; HR-OPA: 0.493, 95% CI: 0.293, 0.828). These effects are particularly pronounced in individuals under 60 years of age and in women. However, it was observed that the level of physical activity recommended by the World Health Organization (600 MET-minutes/week) does not achieve the optimal effect in delaying biological aging. The best effect in decelerating biological aging was seen in the high-level physical activity group (≥ 3000 MET-minutes/week). The study also highlights the potential of biological age acceleration and telomere length as biomarkers for predicting the risk of mortality.

Conclusions
Choosing healthy lifestyle patterns, especially an anti-inflammatory diet, at least moderate physical activity, and healthy sleep patterns, is crucial for delaying aging and reducing mortality risk. These findings support the development of targeted interventions to improve public health outcomes. Future research should focus on objective assessments of lifestyle to further validate these associations.

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Traduction de l'étude

Modes de vie optimaux pour retarder le vieillissement et réduire la mortalité toutes causes confondues : informations de la UK Biobank
Ce Liu Revue européenne sur le vieillissement et l'activité physique 05 octobre 2024

Avec le vieillissement rapide de la population mondiale, il est primordial d'identifier les modes de vie qui retardent efficacement le vieillissement et réduisent le risque de mortalité. Cette étude utilise la UK Biobank pour analyser les associations entre l'indice inflammatoire alimentaire, l'activité physique et le sommeil sur le vieillissement biologique et la mortalité toutes causes confondues.

Méthodes
Une étude de cohorte prospective a été menée à partir des données de plus d'un demi-million de participants à la UK Biobank. Deux ensembles de données ont été créés par des mesures subjectives et objectives de l'activité physique : les ensembles de données sur l'activité physique subjective (SPA) et l'activité physique objective (OPA). Les modes de vie, notamment les habitudes alimentaires, les niveaux d'exercice et la qualité du sommeil, ont été évalués dans ces ensembles de données. Le vieillissement biologique a été quantifié à l'aide de méthodes validées, notamment la dysrégulation homéostatique, l'âge biologique selon la méthode de Klemera-Doubal, l'âge phénotypique et la longueur des télomères. Les données sur la mortalité toutes causes confondues ont été obtenues auprès du Service national de santé. Les analyses statistiques comprenaient une régression linéaire pondérée et des modèles de risque proportionnel de Cox, ajustés pour une série de covariables.

Résultats
Les résultats indiquent que, dans la plupart des cas, le maintien d'un régime alimentaire anti-inflammatoire, la pratique d'une activité physique au moins modérée et le maintien de conditions de sommeil saines sont associés à un vieillissement physiologique retardé (d de Cohen compris entre 0,274 et 0,633) et à une réduction significative du risque de mortalité toutes causes confondues (HR-SPA : 0,690, IC à 95 % : 0,538, 0,884 ; HR-OPA : 0,493, IC à 95 % : 0,293, 0,828). Ces effets sont particulièrement prononcés chez les personnes de moins de 60 ans et chez les femmes. Cependant, il a été observé que le niveau d'activité physique recommandé par l'Organisation mondiale de la santé (600 minutes MET/semaine) n'atteint pas l'effet optimal pour retarder le vieillissement biologique. Le meilleur effet en termes de ralentissement du vieillissement biologique a été observé dans le groupe d’activité physique de haut niveau (≥ 3000 minutes MET/semaine). L’étude souligne également le potentiel de l’accélération du vieillissement biologique et de la longueur des télomères comme biomarqueurs pour prédire le risque de mortalité.

Conclusions
Le choix d’un mode de vie sain, en particulier un régime anti-inflammatoire, une activité physique au moins modérée et des habitudes de sommeil saines, est essentiel pour retarder le vieillissement et réduire le risque de mortalité. Ces résultats soutiennent le développement d’interventions ciblées pour améliorer les résultats en matière de santé publique. Les recherches futures devraient se concentrer sur des évaluations objectives du mode de vie pour valider davantage ces associations.

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Association of dietary and circulating antioxidant vitamins with metabolic syndrome: an observational and Mendelian randomization study
Qian Sun Front. Endocrinol., 14 October 2024

Aims: The objective of this study was to investigate the associations of dietary and circulating antioxidant vitamins with metabolic syndrome (MetS), and to assess causality using Mendelian randomization (MR).

Methods: This study included 10,308 participants from the National Health and Nutrition Examination Survey. The associations of vitamins A, C, E and carotenoids with MetS were assessed using multivariable weighted logistic regression analysis. Subsequently, the MR approach was employed to test the causal associations, with inverse variance weighted (IVW) serving as the primary analysis.

Results: Observationally, dietary vitamin A (OR=0.852, 95%CI: 0.727-0.999), C (OR=0.802, 95%CI: 0.675-0.952), carotene (OR=0.832, 95%CI: 0.706-0.982), and β-carotene (OR=0.838, 95%CI: 0.706-0.995) in quartile 4 had lower incidents of MetS, when compared to quartile 1. Circulating vitamin C and carotene were also present inversely associated with MetS, while the vitamin A and E both increased this risk. IVW-MR confirmed the associations of dietary vitamin A (OR=0.920, 95%CI: 0.861-0.984), vitamin C (OR=0.905, 95%CI: 0.836-0.979) and carotene (OR=0.918, 95%CI: 0.865-0.974) with MetS. However, there was only circulating β-carotene (OR=0.909, 95%CI: 0.857-0.965) was found to be causally associated with MetS.

Conclusions: Observational and MR studies have shown that adequate dietary intake of vitamin A, C and carotenoids may help to reduce the risk of MetS.

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Traduction de l'étude

Association entre les vitamines antioxydantes alimentaires et circulantes et le syndrome métabolique : une étude d'observation et de randomisation mendélienne
Qian Sun Front. Endocrinol., 14 octobre 2024

Objectifs : L'objectif de cette étude était d'examiner les associations entre les vitamines antioxydantes alimentaires et circulantes et le syndrome métabolique (SMet) et d'évaluer la causalité à l'aide de la randomisation mendélienne (RM).

Méthodes : Cette étude a porté sur 10 308 participants de l'enquête nationale sur la santé et la nutrition. Les associations entre les vitamines A, C, E et les caroténoïdes et le SMet ont été évaluées à l'aide d'une analyse de régression logistique pondérée multivariée. Par la suite, l'approche RM a été utilisée pour tester les associations causales, la pondération de la variance inverse (IVW) servant d'analyse principale.

Résultats : Observationnellement, les apports alimentaires en vitamine A (OR = 0,852, IC à 95 % : 0,727-0,999), C (OR = 0,802, IC à 95 % : 0,675-0,952), carotène (OR = 0,832, IC à 95 % : 0,706-0,982) et β-carotène (OR = 0,838, IC à 95 % : 0,706-0,995) du quartile 4 ont entraîné une incidence plus faible de SMet, par rapport au quartile 1. La vitamine C et le carotène circulants étaient également présents et inversement associés au SMet, tandis que les vitamines A et E augmentaient toutes deux ce risque. L'IVW-MR a confirmé les associations entre la vitamine A alimentaire (OR = 0,920, IC à 95 % : 0,861-0,984), la vitamine C (OR = 0,905, IC à 95 % : 0,836-0,979) et le carotène (OR = 0,918, IC à 95 % : 0,865-0,974) et le syndrome métabolique. Cependant, seul le β-carotène circulant (OR = 0,909, IC à 95 % : 0,857-0,965) a été associé de manière causale au syndrome métabolique.

Conclusions : Des études observationnelles et IRM ont montré qu'un apport alimentaire adéquat en vitamine A, C et caroténoïdes peut aider à réduire le risque de syndrome métabolique.

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The associations between oxidative balance score and serum Klotho level in the U.S. population aged 40–79 years
Kang Wang Scientific Reports volume 14, Article number: 28909 (2024)

The relationship between the oxidative balance score (OBS) and the serum Klotho level has yet to be defined. We sought to investigate the potential relationship between OBS and the serum Klotho level in the U.S. population aged 40–79 years. This study included 8,145 participants from the National Health and Nutrition Examination Surveys (NHANES) database spanning from 2007 to 2016. The OBS consisted of the dietary OBS and the lifestyle OBS, based on 16 dietary components and 4 lifestyle components. Weighted multiple linear regressions were performed to explore the association between OBS and serum Klotho level. Furthermore, nonlinear relationships were analyzed through the application of restricted cubic splines (RCS). In the multivariate linear regression model with adjustment for such as demographics, economic income and dietary intake, a higher OBS was associated with a higher serum Klotho, with the beta estimate and 95%CI of 2.85 (1.03–4.68, p < 0.01). Compared with the lowest tertile group, the highest group was associated with a higher Klotho level (30.35, 3.43–57.28, p < 0.05). Furthermore, higher dietary OBS and lifestyle OBS were similarly associated with higher Klotho level (beta (95%CI): 1.27 (0.79–3.32); 14.23 (9.53–18.92), respectively). The RCS exhibited a linear dose-response association between OBS, dietary OBS and lifestyle OBS with serum Klotho concentration (Pnon−linearity>0.05). The association between OBS and serum Klotho level was consistent across age, sex, education, marital status, energy intake and poverty income ratio (PIR) (Pinteraction>0.05).

he study reported significant association between OBS and klotho, indicating that adherence to antioxidant behaviors may be linked to slower aging and better health.

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Traduction de l'étude

Associations entre le score d'équilibre oxydatif et le taux sérique de Klotho dans la population américaine âgée de 40 à 79 ans
Kang Wang Scientific Reports volume 14, Numéro d'article : 28909 (2024)

La relation entre le score d'équilibre oxydatif (OBS) et le taux sérique de Klotho n'a pas encore été définie. Nous avons cherché à étudier la relation potentielle entre l'OBS et le taux sérique de Klotho dans la population américaine âgée de 40 à 79 ans. Cette étude a porté sur 8 145 participants de la base de données National Health and Nutrition Examination Surveys (NHANES) couvrant la période de 2007 à 2016. L'OBS comprenait l'OBS alimentaire et l'OBS de style de vie, basés sur 16 composants alimentaires et 4 composants de style de vie. Des régressions linéaires multiples pondérées ont été réalisées pour explorer l'association entre l'OBS et le taux sérique de Klotho. De plus, les relations non linéaires ont été analysées par l'application de splines cubiques restreintes (RCS). Français Dans le modèle de régression linéaire multivariée avec ajustement pour des facteurs tels que la démographie, le revenu économique et l'apport alimentaire, un OBS plus élevé était associé à un Klotho sérique plus élevé, avec une estimation bêta et un IC à 95 % de 2,85 (1,03-4,68, p < 0,01). Par rapport au groupe du tertile le plus bas, le groupe le plus élevé était associé à un niveau de Klotho plus élevé (30,35, 3,43-57,28, p < 0,05). De plus, un OBS alimentaire et un OBS lié au mode de vie plus élevés étaient également associés à un niveau de Klotho plus élevé (bêta (IC à 95 %) : 1,27 (0,79-3,32) ; 14,23 (9,53-18,92), respectivement). L'ECR a montré une association dose-réponse linéaire entre l'OBS, l'OBS alimentaire et l'OBS lié au mode de vie avec la concentration sérique de Klotho (Pnon-linéarité > 0,05). L'association entre l'OBS et le taux sérique de Klotho était cohérente selon l'âge, le sexe, l'éducation, l'état matrimonial, l'apport énergétique et le ratio de revenu de pauvreté (PIR) (Pinteraction> 0,05).

L'étude a rapporté une association significative entre l'OBS et le klotho, indiquant que l'adhésion aux comportements antioxydants peut être liée à un vieillissement plus lent et à une meilleure santé.

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Association between composite dietary antioxidant index and cognitive function impairment among the US older adults: a cross-sectional study based on the NHANES 2011–2014 Front. Nutr., 22 November 2024 Cong Zhao

Background: Cognitive function impairment (CFI) and the Composite Dietary Antioxidant Index (CDAI) were investigated in this study.

Methods: Participants from the 2011–2014 cycles of the National Health and Nutrition Examination Survey were chosen to assess cognitive function using the Consortium to Establish a Registry for Alzheimer’s Disease Word Learning Test, the Animal Fluency Test, and the Digit Symbol Substitution Test. Participants scored below the 25% percentile of any of the three tests were defined as having cognitive function impairment. 24-h recalls of diet were collected to calculate CDAI.

Results: 2,424 participants were included. The fully adjusted multivariate logistic regression model showed an increase of one CDAI unit reduced CFI risk by 5% (95% CI: 0.92 ~ 0.98, p = 0.004). When comparing individuals with the lowest CDAI in the first quartile (<−2.42), the adjusted odds ratio for CDAI and CFI were 0.81 (95% CI: 0.61 ~ 1.06, p = 0.125) in the second quartile, 0.69 (95% CI: 0.51 ~ 0.92, p = 0.012) in the third quartile, and 0.59 (95% CI: 0.43 ~ 0.82, p = 0.002) in the fourth quartile, respectively. Restricted cubic spline analysis revealed a steady negative linear correlation between CDAI and CFI, with a p-value for non-linearity of 0.122. Subgroup analysis did not reveal any significant interactions based on age, education level, family income, history of diabetes, hypertension, stroke, and depression.

Conclusion: CDAI was inversely associated with CFI in a large representative American population. Further longitudinal studies are needed for causal inference.

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Traduction de l'étude

Association entre l'indice composite d'antioxydants alimentaires et la déficience des fonctions cognitives chez les personnes âgées aux États-Unis : une étude transversale basée sur le NHANES 2011-2014 Front. Nutr., 22 novembre 2024 Cong Zhao

Contexte : La déficience des fonctions cognitives (CFI) et l'indice composite d'antioxydants alimentaires (CDAI) ont été étudiés dans cette étude.

Méthodes : Les participants des cycles 2011-2014 de l'enquête nationale sur la santé et la nutrition ont été choisis pour évaluer la fonction cognitive à l'aide du Consortium pour établir un registre pour la maladie d'Alzheimer Word Learning Test, du Animal Fluency Test et du Digit Symbol Substitution Test. Les participants ayant obtenu un score inférieur au 25 % du percentile de l'un des trois tests ont été définis comme ayant une déficience des fonctions cognitives. Des rappels de régime alimentaire de 24 heures ont été collectés pour calculer le CDAI.

Résultats : 2 424 participants ont été inclus. Le modèle de régression logistique multivariée entièrement ajusté a montré qu'une augmentation d'une unité CDAI réduisait le risque de CFI de 5 % (IC à 95 % : 0,92 ~ 0,98, p = 0,004). Français Lors de la comparaison des individus avec le CDAI le plus bas dans le premier quartile (<−2,42), le rapport de cotes ajusté pour le CDAI et le CFI était respectivement de 0,81 (IC à 95 % : 0,61 ~ 1,06, p = 0,125) dans le deuxième quartile, de 0,69 (IC à 95 % : 0,51 ~ 0,92, p = 0,012) dans le troisième quartile et de 0,59 (IC à 95 % : 0,43 ~ 0,82, p = 0,002) dans le quatrième quartile. L'analyse par splines cubiques restreintes a révélé une corrélation linéaire négative constante entre le CDAI et le CFI, avec une valeur de p pour la non-linéarité de 0,122. L'analyse des sous-groupes n'a révélé aucune interaction significative en fonction de l'âge, du niveau d'éducation, du revenu familial, des antécédents de diabète, d'hypertension, d'accident vasculaire cérébral et de dépression.

Conclusion : Le CDAI était inversement associé au CFI dans une large population américaine représentative. D'autres études longitudinales sont nécessaires pour une inférence causale.