Diète "cétogène" de mr-smith

[mr-smith]

il n'y a pas trop d'organisation mais en gros c'est un jour un muscle ou deux si petit groupe et cardio abdos ou que abdos le matin.

Photo du 15/02/2013 plein de flotte après quelques écart hivernal , 75,5kg sur la balance...

[-TonY-]

Merci, super physique

[Nico6942]

il n'y a pas trop d'organisation mais en gros c'est un jour un muscle ou deux si petit groupe et cardio abdos ou que abdos le matin.

Photo du 15/02/2013 plein de flotte après quelques écart hivernal , 75,5kg sur la balance...

Moi aussi j'aimerai bien être plein de flotte comme toi .

[pouetpouet]

Pourquoi tu postes une photo avec un filtre ? Tu as un excellent physique, tu n'as pas besoin de ça.

[mr-smith]

pour le filtre je trouve ça plus jolie que brut.

Voici un petit feedback de mon évolution depuis octobre 2010 à aujourd'hui.



Ce qui a changé:

- le cardio +++
- les sources de glucide et leurs quantités/prises ---
- les suppléments --
- le nombre de séance par semaine ++
- les légumes ++++++
- travail à l'échec -
- séance d'abdominaux ++++++

[pouetpouet]

Tu ne travailles pas jusqu'à l'échec ? Jamais ?! Même en rappel ?

[mr-smith]

si mais j'en fait moins qu'avant

[micka]

pour ma part j'ai beaucoup progresser en allan a l'echec!!!

[mr-smith]

Quand je m'entraînais que quatre fois par semaine j'allais tous le temps à l'echec , pas le choix...
Maintenant que je mentraine minimum 8 fois/semaine j'utilise d'autre principe d'intensification qui sollicite un peu moins le système nerveux.

[pouetpouet]

Perso, je ne vais pas toujours à l'échec, mais ça m'arrive tout de même régulièrement d'échouer sur la dernière rèp de la dernière série...

Ça explique peut-être pourquoi je n'ai pas vos physiques

[Le Docteur]

Je l’ai déjà dit, désolé pour ceux qui l’ont déjà lu, mais :
— j’ai bloqué six ou sept ans au couché en allant à l’échec
— j’ai pris quinze kilos sur mon couché en cessant d’aller à l’échec en six semaines (avec un entraînement de 3 séance/semaine)

Depuis que j’ai repris, je m’efforce de retrouver les leçons que j’avais apprises dans le temps : jamais d’échec. J’en suis même à me forcer à y aller un peu moins fort malgré la sécurité que m’offrent les barres de la cage à squat.

Je ne veux plus entendre parler d’entraînement à l’échec, rien que le mot me semble révélateur...

Il faut s’extraire de la tête qu’il faudrait se crucifier sur un banc pour progresser.
On progresse en tenant un carnet d’entraînement et en essayant d’augmenter les charges. Ce qui fait une séance réussie, pour moi, ce n’est pas tant qu’on en ait bavé, mais qu’on ai fait une rep de plus, ajouté du poids ou été un peu plus à l’aise sur la dernière rep (si on pense en terme d’intensité subjective, on en déduirait pourtant que dans ce dernier exemple la séance a été « mauvaise »).

Si j’arrive à me garder ça dans la tête, je suis sûr de récupérer mes barres et de les dépasser... Si je l’oublie à mon avis dans un an, je suis encore au même niveau...

[pouetpouet]

Bien noté

Merci.

[mr-smith]

Voici ma forme du jour 23/02/2013 après 1 semaine low carb suite à de trop nombreux excès caloriques....
Ce week end recharge des batteries à base de quinoa, lentille, pain au sarrasin et farine de riz et un bon petit fast food. Bon week end à tous et bon repos pour ceux qui ne s'entraine pas

[samuel01]

Je l’ai déjà dit, désolé pour ceux qui l’ont déjà lu, mais :
— j’ai bloqué six ou sept ans au couché en allant à l’échec
— j’ai pris quinze kilos sur mon couché en cessant d’aller à l’échec en six semaines (avec un entraînement de 3 séance/semaine)

Depuis que j’ai repris, je m’efforce de retrouver les leçons que j’avais apprises dans le temps : jamais d’échec. J’en suis même à me forcer à y aller un peu moins fort malgré la sécurité que m’offrent les barres de la cage à squat.

Je ne veux plus entendre parler d’entraînement à l’échec, rien que le mot me semble révélateur...

Il faut s’extraire de la tête qu’il faudrait se crucifier sur un banc pour progresser.
On progresse en tenant un carnet d’entraînement et en essayant d’augmenter les charges. Ce qui fait une séance réussie, pour moi, ce n’est pas tant qu’on en ait bavé, mais qu’on ai fait une rep de plus, ajouté du poids ou été un peu plus à l’aise sur la dernière rep (si on pense en terme d’intensité subjective, on en déduirait pourtant que dans ce dernier exemple la séance a été « mauvaise »).

Si j’arrive à me garder ça dans la tête, je suis sûr de récupérer mes barres et de les dépasser... Si je l’oublie à mon avis dans un an, je suis encore au même niveau...

15kg sur l dev couché faudra que tu m'explique car si tu augmente le poids tu est bien obligé de te retrouer a l'échec a 1 moment donné

[Le Docteur]

Non, pas d'échec, aucun.

Le principe était simple : une barre qui était redescendue, je devais être sûr de la remonter.
Je faisais un truc un peu idiot et que je ne conseillerais pas : je repérais quelqu'un pas trop loin de moi avant de commencer ma série. Le réflexe qu'on a en général quand on voit un type faire du couché, c'est de garder un œil sur lui. Je faisais mes séries sans personne. Je n'ai jamais été à l'échec pendant cette progression. Je faisais 4-5 reps, la fois d'après 6 reps, la fois d'après 6 reps encore mais ça passait bien, dans la logique "travail à l'échec" j'aurais tenté une septième avec quelqu'un pour m'aider, mais je me contentais du constat que la 6e était mieux passée et je contractais volontairement un bon coup en toute fin de mouvement. La fois d'après j'en avais 8. J'augmentais de 5 kgs.
En général c'était la série "cool". La série un peu plus dure était derrière : je faisais une série d'un maximum de reps en déchargeant de 10kgs et j'allais jusqu'à 12-13 à la fin d'une montée de poids.

Vingt ans après et après une grosse interruption je rejoue un peu à ça, mais sans la descente, et ça a l'air de passer

Je suis le hardgainer par définition a priori, ou alors je forçais trop, je ne sais pas. Mais éliminer l'échec ça ça a marché là où des années de SM n'ont rien donné. C'est ça l'essentiel.
De toute façon, en y réfléchissant, toutes les fois où j'ai progressé sur un mouvement, je l'ai fait sans aller à l'échec. Si le couché était aussi pitoyable chez moi, c'est précisément parce que c'est le mouvement sur lequel je m'acharnais le plus.

La fin de l'histoire est intéressante : un copain est venu s'entraîner avec moi. Il bossait à la répétition forcée. En travaillant avec lui j'ai immédiatement cessé de progresser. Il faut avouer que lui, ça avait l'air de lui réussir, mais il revenait sur d'anciennes barres et il était plus fort que moi à la base.