Impacts de l'alimentation/sport sur la dépression ?

[Nutrimuscle-Conseils]

Electronic cigarettes and their association with stress, depression, and anxiety among dental students in the UAE—a pilot cross sectional study
Waseem Tawba PeerJ October 17, 2024

Background
During dental school, students may encounter stressful events that contribute to stress, anxiety, and depression; in response to these factors, some students use vaping or electronic cigarettes.

Objective
To evaluate the relationship between electronic cigarettes use and stress, anxiety, and depression among dental students.

Methods
A cross-sectional study included 142 dental students in their preclinical, clinical, or internship year was conducted. The 142 participants were split evenly between two groups: smokers and nonsmokers. The average age of the study’s male and female participants was 21.6 years. Using the DASS 21 scale, participants were instructed to complete an electronic questionnaire assessing the association between electronic cigarettes use and stress, anxiety, and depression in smokers and nonsmokers.

Results
According to the findings of this study, stress, anxiety, and depression were significantly associated with electronic cigarette use. Compared to non-smokers, electronic cigarette smokers reported higher levels of severe/extremely severe depression (OR: 10.34, 95% CI: [4.23–24.1]), anxiety (OR: 13.8, 95% CI: [5.4–30.1]) and stress (OR: 27.6, 95% CI: [8.9–85.8]). Compared to males, females were 2.5 times (95% CI: [1.02–6.1]) more likely to report severe/extremely severe anxiety (P < 0.05).

Conclusion
This study demonstrates a significant correlation between the use of electronic cigarettes and elevated levels of stress, anxiety, and depression among dental students in the UAE.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

Les cigarettes électroniques et leur association avec le stress, la dépression et l'anxiété chez les étudiants en dentisterie aux Émirats arabes unis - une étude transversale pilote
Waseem Tawba PeerJ 17 octobre 2024

Contexte
Pendant leurs études en dentisterie, les étudiants peuvent être confrontés à des événements stressants qui contribuent au stress, à l'anxiété et à la dépression ; en réponse à ces facteurs, certains étudiants utilisent le vapotage ou les cigarettes électroniques.

Objectif
Évaluer la relation entre l'utilisation de cigarettes électroniques et le stress, l'anxiété et la dépression chez les étudiants en dentisterie.

Méthodes
Une étude transversale a été menée auprès de 142 étudiants en dentisterie en année préclinique, clinique ou de stage. Les 142 participants ont été répartis également entre deux groupes : fumeurs et non-fumeurs. L'âge moyen des participants masculins et féminins de l'étude était de 21,6 ans. À l'aide de l'échelle DASS 21, les participants ont été invités à remplir un questionnaire électronique évaluant l'association entre l'utilisation de cigarettes électroniques et le stress, l'anxiété et la dépression chez les fumeurs et les non-fumeurs.

Résultats
Selon les résultats de cette étude, le stress, l’anxiété et la dépression étaient significativement associés à l’utilisation de la cigarette électronique. Par rapport aux non-fumeurs, les fumeurs de cigarettes électroniques ont signalé des niveaux plus élevés de dépression sévère/extrêmement sévère (OR : 10,34, IC à 95 % : [4,23-24,1]), d’anxiété (OR : 13,8, IC à 95 % : [5,4-30,1]) et de stress (OR : 27,6, IC à 95 % : [8,9-85,8]). Par rapport aux hommes, les femmes étaient 2,5 fois (IC à 95 % : [1,02-6,1]) plus susceptibles de signaler une anxiété sévère/extrêmement sévère (P < 0,05).

Conclusion
Cette étude démontre une corrélation significative entre l’utilisation de cigarettes électroniques et des niveaux élevés de stress, d’anxiété et de dépression chez les étudiants en dentisterie aux Émirats arabes unis.

[Nutrimuscle-Conseils]

Association between different diet quality scores and depression risk: the REGICOR population-based cohort study
European Journal of Nutrition Volume 63, pages 2885–2895, (2024) Gabriela Lugon

Background
Our aim was to determine the association between diet quality and depression incidence in the population-based REGICOR cohort study, Catalonia, Spain.

Methods
Prospective observational study using participants’ baseline (2003–2006), follow-up (2007–2013) and clinical records data. Five diet quality scores were derived from a food frequency questionnaire (FFQ) at baseline: the relative Mediterranean Diet Score (rMED), the Modified Mediterranean Diet Score (ModMDS), a Dietary Approaches to Stop Hypertension (DASH) score, a Healthful Plant-based Diet Index (HPDI) and the World Health Organization Healthy Diet Indicator (WHO-HDI). Participants using pharmacological antidepressant treatment were excluded as a proxy for presence of depression at baseline. At follow-up, the Patient Health Questionnaire (PHQ-9) was applied to assess depressive symptoms (≥ 10 defining depressive disorder). A secondary outcome was depression diagnosis assessed through clinical records. Logistic regression and Cox proportional hazards models were used.

Results
Main analysis included 3046 adults (50.3% women) with a mean age of 54.7 (SD = 11.6) years. After 6-years follow-up, 184 (6.04%) cases of depressive disorder were identified. There was 16% lower odds of depressive disorder per 1SD increase of rMED (OR = 0.84; 95%CI = 0.71–0.98). Secondary outcome analysis (n = 4789) identified 261 (5.45%) incident cases of clinical depression diagnosis over 12 years follow-up, and 19% lower risk of clinical depression was observed with the WHO-HDI (HR = 0.81; 95%CI = 0.70–0.93). Adjusting for BMI did not attenuate the findings.

Conclusions
A significant inverse association between diet quality and depression incidence was found in this population-based cohort study, independent of sociodemographic, health and lifestyle. Adherence to a healthy diet could be a complementary intervention for the prevention of depression.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

Association entre différents scores de qualité de l'alimentation et le risque de dépression : l'étude de cohorte populationnelle REGICOR
European Journal of Nutrition Volume 63, pages 2885–2895, (2024) Gabriela Lugon

Contexte
Notre objectif était de déterminer l'association entre la qualité de l'alimentation et l'incidence de la dépression dans l'étude de cohorte populationnelle REGICOR, en Catalogne, en Espagne.

Méthodes
Étude observationnelle prospective utilisant les données de base (2003–2006), de suivi (2007–2013) et des dossiers cliniques des participants. Cinq scores de qualité de l'alimentation ont été dérivés d'un questionnaire de fréquence alimentaire (FFQ) au départ : le score relatif du régime méditerranéen (rMED), le score modifié du régime méditerranéen (ModMDS), un score DASH (Dietary Approaches to Stop Hypertension), un indice de régime alimentaire sain à base de plantes (HPDI) et l'indicateur de régime alimentaire sain de l'Organisation mondiale de la santé (WHO-HDI). Les participants utilisant un traitement antidépresseur pharmacologique ont été exclus comme indicateur de la présence de dépression au départ. Lors du suivi, le questionnaire sur la santé du patient (PHQ-9) a été utilisé pour évaluer les symptômes dépressifs (≥ 10 définissant le trouble dépressif). Un critère d'évaluation secondaire était le diagnostic de dépression évalué à partir des dossiers cliniques. Des modèles de régression logistique et de risques proportionnels de Cox ont été utilisés.

Résultats
L'analyse principale a porté sur 3046 adultes (50,3 % de femmes) dont l'âge moyen était de 54,7 (ET = 11,6) ans. Après 6 ans de suivi, 184 (6,04 %) cas de trouble dépressif ont été identifiés. La probabilité de trouble dépressif était inférieure de 16 % par augmentation d'1 ET de la rMED (OR = 0,84 ; IC à 95 % = 0,71–0,98). L'analyse des résultats secondaires (n = 4 789) a identifié 261 (5,45 %) cas incidents de diagnostic de dépression clinique sur une période de suivi de 12 ans, et un risque de dépression clinique inférieur de 19 % a été observé avec l'OMS-HDI (HR = 0,81 ; IC à 95 % = 0,70–0,93). L'ajustement en fonction de l'IMC n'a pas atténué les résultats.

Conclusions
Une association inverse significative entre la qualité de l'alimentation et l'incidence de la dépression a été trouvée dans cette étude de cohorte basée sur la population, indépendamment des caractéristiques sociodémographiques, de la santé et du mode de vie. L'adhésion à un régime alimentaire sain pourrait être une intervention complémentaire pour la prévention de la dépression

[Nutrimuscle-Conseils]

Vitamin C improved anxiety and depression like behavior induced by chronic unpredictable mild stress in adolescent rats by influencing on oxidative stress balance, neurotransmitter systems, and inflammatory response
Nutritional Neuroscience 28 Oct 2024 Maha Masoud

Objectives: Stress is an adaptive response to different events in daily life that could strain physically, emotionally, or psychologically. Adolescence is an important developmental period due to physical, psychological, and social maturation. The aim of our study is to state whether chronic unpredictable mild stress (CUMS) during adolescence in male rats can cause anxiety and depression in adulthood and whether vitamin C (Vit C) can prevent this problem or not.

Methods: For this purpose, we performed behavioral tests, including open field test, elevated plus maze, and forced swimming test. In addition, we investigated the metabolism of serotonin, the level of inflammation, oxidative stress and brain-derived neurotrophic factor (BDNF) in the brain cortex tissue of animals.

Results: Results indicated that CUMS exacerbates mood-related behaviors by affecting the brain oxidative stress balance, inflammatory response, and serotonin metabolism. Moreover, we found that CUMS-Vit C co-treatment could significantly reverse CUMS-induced complications by restoration of the mentioned biochemical parameters.

Discussion: Taken together, we would like to suggest the use of Vit C supplementation as a safe, inexpensive, and effective strategy for the management of CUMS.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

La vitamine C a amélioré l'anxiété et le comportement dépressif induits par un stress léger chronique imprévisible chez les rats adolescents en influençant l'équilibre du stress oxydatif, les systèmes de neurotransmetteurs et la réponse inflammatoire
Nutritional Neuroscience 28 Oct 2024 Maha Masoud

Objectifs : Le stress est une réponse adaptative à différents événements de la vie quotidienne qui peuvent être éprouvants physiquement, émotionnellement ou psychologiquement. L'adolescence est une période de développement importante en raison de la maturation physique, psychologique et sociale. Le but de notre étude est de déterminer si le stress léger chronique imprévisible (CUMS) pendant l'adolescence chez les rats mâles peut provoquer de l'anxiété et de la dépression à l'âge adulte et si la vitamine C (Vit C) peut prévenir ce problème ou non.

Méthodes : À cette fin, nous avons effectué des tests comportementaux, notamment un test en champ ouvert, un labyrinthe surélevé et un test de nage forcée. De plus, nous avons étudié le métabolisme de la sérotonine, le niveau d'inflammation, le stress oxydatif et le facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF) dans le tissu du cortex cérébral des animaux.

Résultats : Les résultats ont montré que le CUMS exacerbe les comportements liés à l'humeur en affectant l'équilibre du stress oxydatif cérébral, la réponse inflammatoire et le métabolisme de la sérotonine. De plus, nous avons constaté que le co-traitement CUMS-Vit C pouvait inverser de manière significative les complications induites par le CUMS en rétablissant les paramètres biochimiques mentionnés.

Discussion : Dans l'ensemble, nous aimerions suggérer l'utilisation de suppléments en vitamine C comme stratégie sûre, peu coûteuse et efficace pour la prise en charge du CUMS.

[Nutrimuscle-Conseils]

Association between mealtime distribution of macronutrient and mental health in apparently healthy Iranian adults: a cross-sectional study
Aliyu Tijani Nutritional Neuroscience 11 Nov 2024

Mental health (MH) disorders are one of the most prevalent global public health issues for a significant portion of the population. The aim of this study was to investigate the relationship between the mealtime distribution of macronutrients and MH in Iranian adults. We used a convenience sampling technique to perform this cross-sectional study. The Depression, Anxiety, and Stress Scale (DASS-21) was used to assess the MH outcome. Dietary consumption was assessed using multiple 24-hour dietary recalls. The coefficient of variation (CV) was then used to compute the macronutrient distribution at mealtime. In all, 54.6%, 53.9%, and 56.6% were classified as having anxiety, depression, and stress symptoms, respectively. The CV scores for carbohydrate were relatively evenly distributed across all meal times, with a mean of 0.38, 0.38, and 0.39 for breakfast, lunch, and dinner, respectively. We observed no significant association between the mealtime distribution of carbohydrates and mental health indices in any of the analyzed models. However, a more skewed distribution of protein intake towards dinner (i.e. a higher protein CV value) was positively associated with anxiety (OR: 1.69; CI: 1.02-2.78) and stress symptoms (OR: 1.93; CI: 1.17-3.16). We also observed a significant association between fat distribution and depression symptoms, with subjects in tertile 2 having higher odds of depression compared to T1 (OR: 1.63; CI: 1.00-2.63).

In conclusion, a skewed distribution of protein and fat intake may be associated with mental health problems. Future studies are warranted to validate these findings and gain a better understanding of the underlying mechanisms.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

L'ingestion d'arginine inhibe l'invasion des phagocytes dans les muscles à contraction rapide du rat contractés de manière excentrique
Journal of Muscle Research and Cell Motility Volume 45, pages 201–209, (2024)

Il a été démontré que la contraction excentrique (ECC) induit une invasion des leucocytes dans le muscle squelettique, entraînant une inflammation musculaire. Cette étude visait à déterminer si l'ingestion préalable de L-arginine (ARG), un précurseur de l'oxyde nitrique, inhibe l'invasion des macrophages induite par l'ECC. Des rats Wistar mâles ont reçu de l'ARG dans de l'eau pendant 7 jours, en commençant 3 jours avant l'ECC. Les ECC ont été induites dans les muscles cruraux antérieurs pendant 200 cycles. Trois jours plus tard, les muscles tibialis antérieur et extensor digitorum longus ont été excisés pour une analyse biochimique et une mesure de la force, respectivement. L'ingestion d'ARG a augmenté les niveaux de nitrite et de nitrate dans le plasma et le muscle, inhibant la dépression de la force et réduisant la teneur en CD68 dans les muscles soumis à l'ECC. L'ingestion d'ARG a également amélioré l'augmentation de la nitration des protéines induite par l'ECC, bien que ni l'ingestion d'ARG ni l'induction d'ECC n'aient affecté les niveaux de carbonyle des protéines. Les présents résultats suggèrent que l'ingestion d'ARG ou d'aliments riches en ARG peut soulager l'inflammation en atténuant l'invasion des phagocytes dans les muscles squelettiques contractés de manière excentrique.

[Nutrimuscle-Conseils]

Breakfast skipping is linked to a higher risk of major depressive disorder and the role of gut microbes: a mendelian randomization study
Xingzhi Guo Nutrition Journal volume 23, Article number: 133 (2024)

Background
Observational studies have indicated that breakfast skipping and gut microbiome dysbiosis are associated with a higher risk of major depressive disorder (MDD). However, it remains unknown whether the alteration of gut microbes is implicated in the associations between breakfast skipping and MDD.

Methods
Leveraging genome-wide association studies (GWAS) on breakfast skipping, gut microbes, and MDD, we conducted a two-step Mendelian randomization (MR) study to determine the causal associations between breakfast skipping (N = 193,860) and MDD (N = 1,815,091), and evaluate the role of gut microbes (N = 18,340). Genetic variants with a P-value less than 5E-08 were selected as instrumental variables (IVs). The false discovery rate (FDR) method was employed to correct the P-values for multiple tests in gut microbes.

Results
Breakfast skipping was associated with an increased risk of MDD (odds ratio [OR] = 1.36, 95%CI = 1.12–1.65, P = 0.002), but no effect of MDD on breakfast skipping was observed (β per doubling odds of MDD =-0.001, 95%CI=-0.024 to 0.023, P = 0.957). After adjusting for multiple comparisons, the MR analysis provided little evidence for an association between breakfast skipping and the abundance of any gut microbes (PFDR>0.05). Among the 21 gut microbes with IVs available, only the abundance of Class Actinobacteria was causally associated with a reduced risk of MDD (OR = 0.85, 95%CI = 0.75–0.97, PFDR=0.015).

Conclusions
Our findings demonstrated that breakfast skipping was associated with an increased risk of MDD, but provided little evidence supporting the role of the abundance of gut microbes in it. Further efforts with a large sample size are warranted to clarify the findings.

[Nutrimuscle-Diététique]

Traduction de l'étude

Le fait de sauter le petit-déjeuner est associé à un risque plus élevé de trouble dépressif majeur et au rôle des microbes intestinaux : une étude de randomisation mendélienne
Xingzhi Guo Nutrition Journal volume 23, Numéro d'article : 133 (2024)

Contexte
Des études observationnelles ont indiqué que le fait de sauter le petit-déjeuner et la dysbiose du microbiome intestinal sont associés à un risque plus élevé de trouble dépressif majeur (TDM). Cependant, on ne sait toujours pas si l'altération des microbes intestinaux est impliquée dans les associations entre le fait de sauter le petit-déjeuner et le TDM.

Méthodes
En nous appuyant sur des études d'association pangénomique (GWAS) sur le fait de sauter le petit-déjeuner, les microbes intestinaux et le trouble dépressif majeur, nous avons mené une étude de randomisation mendélienne (RM) en deux étapes pour déterminer les associations causales entre le fait de sauter le petit-déjeuner (N = 193 860) et le trouble dépressif majeur (N = 1 815 091) et évaluer le rôle des microbes intestinaux (N = 18 340). Les variantes génétiques avec une valeur de p inférieure à 5E-08 ont été sélectionnées comme variables instrumentales (VI). La méthode du taux de fausses découvertes (FDR) a été utilisée pour corriger les valeurs de p pour plusieurs tests sur les microbes intestinaux.

Résultats
Le fait de sauter le petit-déjeuner était associé à un risque accru de trouble dépressif majeur (rapport de cotes [RC] = 1,36, IC à 95 % = 1,12–1,65, P = 0,002), mais aucun effet du trouble dépressif majeur sur le fait de sauter le petit-déjeuner n'a été observé (β par doublement des cotes du trouble dépressif majeur = -0,001, IC à 95 % = -0,024 à 0,023, P = 0,957). Après ajustement pour les comparaisons multiples, l'analyse RM a fourni peu de preuves d'une association entre le fait de sauter le petit-déjeuner et l'abondance de microbes intestinaux (PFDR > 0,05). Parmi les 21 microbes intestinaux avec IV disponibles, seule l'abondance de la classe Actinobacteria était associée de manière causale à un risque réduit de MDD (OR = 0,85, IC à 95 % = 0,75–0,97, PFDR = 0,015).

Conclusions
Nos résultats ont démontré que le fait de sauter le petit-déjeuner était associé à un risque accru de MDD, mais ont fourni peu de preuves soutenant le rôle de l'abondance de microbes intestinaux dans ce risque. Des efforts supplémentaires avec un échantillon de grande taille sont nécessaires pour clarifier les résultats.